Tutelles, curatelles sur M6

Dimanche 16 octobre, un nouveau reportage sur les abus des tuteurs et curateurs était diffusé sur M6 dans Zone interdite http://www.m6replay.fr/#/info/zone-interdite/35426

Une fois de plus, le reportage mettait en avant la misère des gens qui, malgré des avoirs conséquents, vivent très difficilement du fait des carences graves de leurs mandataires judiciaires. France 3 avait diffusé début juin un reportage sur le même sujet https://laconnectrice.wordpress.com/2011/06/02/tutelles-curatelles-et-protection-juridique-des-majeurs/
Il y aura toujours des professionnels pour prétendre que les journalistes abusent mais pour que deux chaines diffusent à 4 mois de distance une émission sur le même sujet, on peut croire que les reporters avaient de sérieuses raisons de s’intéresser à la situation des 800 000 majeurs protégés en France. Soit ils ont reçu beaucoup de courriers sur le même sujet, soit, et c’est plus vraisemblable, ils ont été alertés par une autorité politique ou juridique. Le troisième facteur est l’actualité et la demande de mise sous curatelle de Liliane Bettencourt a titillé les esprits. Imaginez un peu, même la femme la plus riche de France n’est pas à l’abri d’une protection judiciaire… contre son gré!

L’émission de M6 n’apportait rien de nouveau par rapport à celle de la 3. Elle enfonçait le clou sur le manque de moyens de la justice : manque de greffiers, manque de juges et donc impossibilité d’effectuer des contrôles sur le travail des curateurs et des tuteurs. Elle rappelait que, toujours faute de moyens, les améliorations apportées par la révision de la loi en 2007 restaient lettre morte pour la plupart des mandataires judiciaires.

Par exemple, la nouvelle loi prévoit le droit à l’information du majeur protégé. Le curateur est tenu de remettre au juge des tutelles les comptes de gestion à la fin de l’année. La loi ne prévoit pas l’information du majeur protégé sur ses comptes au jour le jour. Son information repose donc sur le bon vouloir du curateur. Si le curateur refuse de donner une information comptable, le majeur protégé devra la demander au juge des tutelles qui, débordé, n’aura vraisemblablement pas le temps de le recevoir dans de brefs délais. Il découle  de l’absence d’information comptable une déstabilisation du majeur protégé, du stress, des inquiétudes, des obsessions, de la paranoïa et, au final, une situation inconfortable pour le protégé mais aussi pour tous les acteurs juridiques et sociaux.

Indirectement, un message fort était envoyés aux tuteurs à la vue des milliers de dossiers sous la responsabilité d’un seul juge et d’un seul greffier : vous pouvez faire ce que vous voulez, il n’y aura jamais de contrôle.

Comme souvent en France, faute d’encadrement, les principes de bonne gestion ne sont pas mis en oeuvre et reposent sur le bon vouloir des individus. Si le tuteur est animé de rigueur morale et d’empathie, il effectuera son travail dans le respect de la personnalité, des moyens et des besoins de la personne protégée, conformément à l’esprit de la loi.

A la fin du reportage, le débat (à 1:30: 30 http://www.m6replay.fr/#/info/zone-interdite/35426) avec une juge des tutelles et une curatrice/tutrice était édifiant car il posait bien les problèmes aussi bien du côté de la justice et de ses représentants que du côté des majeurs protégés. La mandataire a justement rappelé les devoirs du curateurs tels qu’ils sont exprimés dans la loi : respect de la personne protégée, personnalisation de la protection, droit à l’information et l’esprit de la loi, à savoir la protection de la personne en difficulté dans tous les sens du terme. La juge a déploré que la formation des mandataires prévue par la loi ne soit pas diplômante mais seulement certifiante.

En attendant -et ça peut durer très longtemps-que le gouvernement donne aux Juges des tutelles et à leurs greffiers les moyens de gérer les 800 000 dossiers des personnes protégées en France, les personnes protégées et leur entourage ne peuvent que compter sur leurs propres forces pour choisir leur mandataire judiciaire, s’ils parviennent à trouver l’information sur les qualités des mandataires, ou sinon, prendre un membre de leur famille car, comme le dit un protégé dans le reportage, « Quitte à être spolié, je préfère que ce soit par un membre de ma famille ».

Le problème est que la prise en charge d’un majeur protégé nécessite beaucoup de travail, surtout au moment de la mise en place de la mesure. Il faut recenser les créanciers, les avoirs, les charges courantes, la situation administrative et les besoins spécifiques comme les soins médicaux. Ensuite le tuteur doit ouvrir un compte bancaire pour le protégé, écrire à tous les créanciers pour les informer de la situation et leur donner le RIB du compte sur lequel il faut effectuer les prélèvements (gaz, électricité, impôts, loyer, mutuelle, téléphone, dettes, etc.). On doit ensuite établir un budget mensuel en ventilant toutes les dépenses sur l’année. Le budget permettra d’évaluer l’argent disponible sur lequel l’argent de poche sera prélevé. Cette mise en place nécessite au moins deux mois de travail. Sachant que les tuteurs/curateurs sont rémunérés au pro rata des sommes gérées on comprend que la tentation est grande de se faire attribuer le maximum de dossiers, d’encaisser les émoluments et d’en faire le moins possible. C’est ce qui était montré dans le reportage de Zone interdite sur la base de cas particulièrement dramatiques.

L’Etat ne peut pas édicter des lois et se désintéresser de leur application et, pourtant, c’est ce qu’il fait trop souvent. L’Etat est clairement responsable des abus dont sont victimes les majeurs protégés et si ceux-ci pouvaient se regrouper pour entamer une sorte de « class action » contre lui, leur situation pourrait sans doute s’améliorer considérablement. Malheureusement, les majeurs protégés ne sont pas protégés pour rien et la majorité d’entre eux n’a pas la capacité de se défendre. C’est la quadrature du cercle.

Une réponse "

  1. Pourquoi les droits de l’homme ne peuvent pas être respectés.
    Lettre ouverte à Madame la Présidente de la cour d’appel d’Aix-en-Provence.
    (Pour l’audience du 7 mai 2018)

    La mise sous tutelle étant une atteinte à la liberté individuelle, il n’y a qu’à visiter sur Internet « Abus des tutelles » pour savoir qu’il y a 800 000 personnes sous tutelle et curatelle (la vérité étant plus près du million), dont environ 50 %, si ce n’est plus, le sont, sous prétexte de défendre les justiciables, afin de les dépouiller de leurs biens. Aussi, tout le monde peut être victime et spolié.

    La journaliste Valérie Labrousse, à la fin de son livre, écrit : « Il n’y a pas de solution », ce qui est confirmé par le médiateur de la République Jean-Paul Delevoye dans la préface du livre La France des incapables.

    Contrairement à ce que prétendent des juristes, par indifférence et par profit, la mise sous tutelle n’empêche pas l’expulsion, et ils ne disent pas qu’elle favorise la spoliation des gens. Aussi, m’étant fait piéger, j’ai voulu me retirer de la tutelle et j’ai dû repasser devant un expert-psychiatre en la personne du docteur Jean-Michel Gaglione. Cet individu m’a fait un rapport défavorable pour lui avoir dit entre autres que « je me mettais à la place d’une personne pour comprendre la profondeur du comportement humain ». Il en a déduit sans chercher à comprendre que l’on pouvait me faire signer n’importe quoi.

    À cause de cet expert-psychiatre, la juge des tutelles Cécille Acquaviva a nom-mé une tutrice professionnelle, et ceci contre ma volonté, ce qui est scandaleux. Aussi, j’ai voulu savoir ce qui se passait dans l’esprit d’un psychiatre et je l’ai compris en lisant ce livre de 1 143 pages où sont définis les pensées et les comportements humains, ce qui permet aux psychiatres, pour s’écouter, d’établir pour tout le monde un certificat comme celui dont je suis victime.
    Après être parvenu à saisir de nouveau la juge des tutelles, celle-ci m’a écrit de me munir, conformément à la réglementation, d’un certificat de mon médecin traitant ou de celui d’un expert-psychiatre inscrit sur la liste qu’elle m’a adressée. Aussi, j’ai choisi mon médecin traitant, lequel a rédigé ce certificat.

    Marignane, le 05. 07. 2017

    Je soussigné, Docteur NGUYEN Anh Duc, certifie avoir examiné ce jour Mon-sieur MARIE Jean Claude né le 27-09-1942 et n’avoir pas constaté de risque pour sa personne ou pour autrui.

    Les idées verbalisées par le patient durant l’entretien relèvent d’un engagement prononcé sur des valeurs auxquelles le patient est très attaché, elles ne sont pas délirantes et confuses.
    Il n’y a aucune émotion ou d’intention qui risquerait de nuire à l’intégrité de sa personne ou à celle d’autrui.

    Le patient n’est pas sous l’emprise de médicament psychotrope, il ne consomme aucune substance pouvant entrainer une perte des facultés mentales.
    L’examen physique minutieux montre des capacités mentales et somatiques suffisantes pour qu’il retrouve son autonomie.

    Je pense avec quasi-certitude totale que la mesure de protection peut être levée immédiatement.

    Certificat remis en mains propres pour faire valoir ce que de droit.

    Dr NGUYEN Anh Duc
    Médecine générale
    10003440012

    Mais la tutrice, madame Cécile Borda Riviere, a fait contester le rapport du Dr Nguyen Anh Duc. Ceci est honteux et prouve que les tuteurs, pour garder abusivement une personne sous tutelle, se croient tout permis.

    Pour me maintenir sous tutelle, dans le jugement il est écrit que je suis l’objet de troubles psychiatriques et que je refuse de me soigner. Ceci prouve bien que l’on peut interner toute personne en bonne santé et lui trouver une maladie sous ce prétexte, et la tuer par une overdose aux médicaments. Ceci est confirmé sur Internet. Quant à mes prétendus troubles psychiatriques, l’on peut en juger par cette lettre et par mon blog http://www.surmental.info. Aussi, je me suis aperçu que ces certificats psychiatriques sont à peu près identiques sur le fond et la forme (copier-coller) pour que des personnes restent sous tutelle toute leur vie.

    Gérard me dit : « Je suis sous mesure depuis plus de dix-huit ans. Si j’avais été privé de liberté pour un meurtre, aujourd’hui je serais déjà libre .»… D’où cet appel sur Internet au peuple de France.

    Sidérant
    28/08/2015 15:08
    TUTELLES
    Comment agir ? Qui aurait des idées à ce propos ? Bien sûr que cela nous concerne tous…

    En ce qui me concerne, il est écrit : « Attendu qu’il résulte des éléments médicaux que M. Jean-Claude MARIE présente toujours une altération mentale importante de ses facultés personnelles qui troublent son jugement ; que depuis le précédent jugement rendu en avril 2016, sa situation n’a pas évolué favorablement ; que M. MARIE est toujours dans le déni de la réalité, de la gravité de sa situation et de son besoin d’aide ; qu’au niveau médical, il refuse tout traitement médical, estimant les médecins dans l’erreur et considérant qu’il n’est atteint d’aucune pathologie ; qu’il se met en danger en poursuivant ses comportements délictueux et en tentant de bloquer le travail de la tutrice, au mépris de ses intérêts. »

    Madame la Présidente, ce qui est souligné, c’est une élucubration mentale due au machiavélisme et à l’incompétence manifeste de ces psychiatres qui écrivent n’importe quoi pour leur profit. Par contre, je confirme que ces pseudo-médecins sont dans l’erreur, pour détruire les humains en prescrivant des psychotropes par incompétence et par profit, et qu’ils font des millions de victimes, ce qui est confirmé sur Internet. À ce sujet, voyez : « Abus sur la psychiatrie », qui montre leur incompétence par leurs crimes. Aussi, par rapport à ces individus, je ne suis atteint d’aucune pathologie mentale, comme les personnes internées abusivement ne le sont pas par rapport à eux. Par contre, ils feraient bien de se soigner en se remettant en cause pour développer leur conscient au détriment de leur inconscient afin de découvrir les causes profondes du comportement humain et de l’esprit, dans le but de voir plus clair en eux et, selon l’expression freudienne, que leur inconscient domine moins leur pensée et leur comportement. Et qu’ils pensent à ceci : « Par ailleurs, trois groupes professionnels semblent être liés à un risque de suicide plus élevé que le reste de la population : les médecins et notamment les psychiatres, les infirmiers, et les vétérinaires. »

    Or, les suicidés sont souvent l’objet d’un état dépressif ou d’un déséquilibre mental pour ne pas avoir su se remettre en cause, afin d’élever leur conscient au détriment de leur inconscient pour surpasser leur état dépressif. C’est ce qui nous fait passer dans la quatrième dimension où l’on voit ses erreurs. Bien sûr, cela ne suffit pas, car il faut qu’ils apprennent à transmuter leur cerveau pour l’équilibrer en fonction de l’évolution de leur mental*, c’est ce qui doit diminuer le nombre de maladies et les suicides. Aussi, en France, « malgré l’ambition réitérée des politiques souhaitant faire chuter le taux de suicide sous le seuil des 10 000 décès annuels (loi de la Santé publique du 4 août 2004), cet objectif n’est pas actuellement atteint ».

    Quant à mon comportement délictueux, dénoncer ces faits est de mon devoir, et cela est en conformité avec l’esprit de mon association et la Commission internationale des citoyens pour les droits de l’homme, qui réclame la nullité de la psychiatrie. En ce qui me concerne, je réclame d’écarter les psychiatres qui sont incompétents pour être des criminels, et ceux qui sont inscrits sur la liste du procureur de la République et qui se permettent de faire des certificats de complaisance par incompétence ou par profit pour favoriser la mise sous tutelle et la spoliation abusive des justiciables.

    J’ai très peu de rapports avec la tutrice, ce qui ne l’empêche pas de faire écrire n’importe quoi, bien qu’elle m’ait fait arrêter par la police qui m’a gardé au commissariat pendant qu’on cambriolait ma maison (expulsion), sans compter que l’on a mis mes meubles et mes affaires sans protection dans les camions sans les inventorier; et qu’on m’a volé cinq tableaux peints sur toile, dont deux anciens, plus le caïman empaillé que mon père avait rapporté au temps où la France avait des colonies, un autoradio neuf et emballé, ma gourmette en argent que mes parents m’avaient offerte, plus un Smartphone, et plus encore. J’ai été expulsé le 27 septembre, le jour de mon anniversaire, et lorsque la police est arrivée, j’étais en short et en chemise, et c’est à la demande téléphonique de cette tutrice que la police m’a emmené dans cette tenue au commissariat avec interdiction de retourner chez moi. Heureusement qu’un ami m’a hébergé quelques jours, et qu’un autre m’a donné ses vêtements. Tout ceci, je ne l’ai pas reproché à la tutrice pour éviter un conflit. Et ce n’est pas tout, car avec tout ce que les gens subissent lorsqu’ils se retrouvent dans mon cas, ceci les rend malades, s’ils ne l’étaient pas avant. Pour moi, ce n’est pas pareil, car plus l’on veut m’en faire voir, plus ceci me permet de me remettre profondément en cause, et élève mon esprit pour agir sur mon cerveau, et produire en réagissant l’élévation de mon mental.

    Si je vous écris ceci, Madame la Présidente, cela dépasse les psychiatres qui demeurent enfermés dans leur mental et sont de ce fait un danger pour autrui.

    « Qu’au vu des éléments tant sociaux que médicaux, il n’apparaît à ce jour pas apte à pourvoir seul à ses intérêts et à assurer sa gestion administrative et financière ».

    Facile à écrire, lorsque l’on veut garder abusivement une personne sous tutelle. Ceci est une honte pour la psychiatre, la tutrice et la juge des tutelles ; cette der-nière ne veut pas voir plus loin que le bout de son nez, pour mettre les gens abusivement sous tutelle et curatelle contre leur volonté.

    « Qu’il convient de rejeter en l’état la demande de mainlevée présentée par M. Jean-Claude MARIE.

    Qu’il convient de maintenir Mme Cécile BORDAT-RIVIERE, mandataire judiciaire à la protection des majeurs, en qualité de tuteur conformément à l’article 450 du Code civil.
    En raison de l’urgence, il y a lieu d’ordonner l’exécution provisoire de la présente décision ».
    « Les tribunaux ordonnent aujourd’hui à tour de bras de telles mesures concernant des gens qui ont juste le tort d’être surendettés, de ne plus payer leur loyer HLM ou tout simplement de traverser une mauvaise passe, à la suite d’un divorce ou d’un deuil particulièrement mal vécu. La tutelle est ainsi devenue un outil de la France d’en bas, détournant la loi de son but initial. D’où une inflation des mesures prononcées ».

    Malheureusement, la tutelle n’est pas devenue qu’un outil de la France d’en bas, elle est aussi celui de la France d’en haut, plus intéressante pour prendre les biens au peuple. Aussi, à celles et ceux qui veulent préserver leur patrimoine et vivre normalement, je conseille de lire les deux livres pris au hasard cités précédemment, vu la quantité de plaignants, et de s’informer sur Internet.

    Les mandataires judiciaires (tuteurs) privent leurs soi-disant protégés de leur propre argent. C’est ainsi que des retraités ne perçoivent comme argent pour vivre que 50 € par semaine. Inutile de dire que cela pousse à la délinquance, au vol ou à se renflouer par divers trafics, surtout que d’après des témoignages sur Internet, des protégés, bien que riches, ne sont guère mieux lotis et sont obligés de quémander le peu d’argent qu’ils reçoivent. Des juges des tutelles mettent des personnes sous tutelle contre leur volonté, sous prétexte qu’elles ne savent pas gérer leur argent, et ceci ouvre la porte à tous ces abus. Par contre, s’il y a des individus qui ne savent pas gérer l’argent de leurs protégés, ce sont bien les tuteurs, sauf pour y trouver leur profit.

    « Heurté par ce genre de pratique, l’actuel procureur de la République de Nice, Éric de Montgolfier, farouche pourfendeur des réseaux maçonniques corrompus de la Promenade des Anglais, a mis les pieds dans le plat. Et son nez dans la liste des tuteurs agréés par le tribunal. C’est d’ailleurs ce que sont censés faire tous les parquets de l’Hexagone une fois l’an, afin de débusquer les indélicats. Ce principe de précaution n’étant que rarement appliqué, l’affaire a fait grand bruit le long de la Promenade des Anglais ».

    « Coup de torchon sur les tutelles », titrait Nice Matin le 26 mars 2000.

    « Sur cette liste se trouvait notamment un gérant dont la femme n’était autre qu’une greffière en chef du tribunal. Le monsieur, un travailleur social à la re-traite, roulait en Jaguar et déclarait un revenu annuel s’élevant à 107 000 euros. Cela m’a surpris, évidemment… », glisse le procureur.

    On y lit qu’une directrice d’association roulait en Porche, avait acquis une villa de type hollywoodien et avait escamoté une somme de 400 000 euros. Ceci est facile lorsqu’on dispose de l’argent des autres, et que l’on n’est pas contrôlé, pour être protégé par la justice.
    Lorsque j’ai appris que ma mise sous tutelle abusive était maintenue, j’ai dit à la juge des tutelles « que l’on nous poussait à bout, et elle l’a écrit ». Ceci permet de mieux comprendre la haine ressentie par les victimes, qui se transpose de plus en plus sur le peuple, qui est loin d’apprécier la justice, et qui le pousse à se révolter.

    Mon avocate était maître Boulfiza. La juge des tutelles m’a fait prendre un autre avocat, qui, soi-disant plus compétent, ne l’a pas été devant la cour d’appel pour faire annuler le jugement abusif de mon expulsion rendu sur des faux comme cela est courant dans la justice du fait d’avocats incompétents ou vicieux. Mais je ne rentrerai pas dans les détails, car cette lettre a pour but que je sorte de la tutelle et que des milliers de victimes en sortent.
    Cet e-mail du 30 mars 2018 montre le culot de cette mandataire judiciaire à la protection des majeurs.

    « Bonjour Monsieur,
    Je fais suite à votre demande d’augmentation de votre argent de vie.
    Je suis au regret de vous refuser cette augmentation au regard de la condamnation dont vous faites l’objet suite à la procédure que vous aviez engagée en 2016 avec l’assistance de votre avocat maître BOULFIZA.

    En effet, par décision datée du 02 février 2017, dont je viens juste d’avoir con-naissance, le tribunal vous a condamné à verser la somme de 1 500 euros à la SCP BRINCOURY, 1 500 euros à Monsieur et Madame d’ANTONY, 1 500 euros à Monsieur AIT-ABBAS, soit un total de 4 500 euros.

    Je vous rappelle que vous êtes sous tutelle et qu’aucune procédure pouvant engager votre patrimoine ne peut être initiée sans mon accord, ce que Maître BOULFIZA n’ignorait pas puisqu’elle était informée de ma désignation.

    En conséquence, j’ai désigné un avocat, ce jour.

    Il serait dans votre intérêt que vous cessiez d’assigner tout le monde en justice.
    Bien à vous. »

    Je n’ai pas répondu à son e-mail parce que cette mandataire judiciaire ne m’inté-resse pas. Par contre, Madame la Présidente, vous m’intéressez à travers le pré-sident de la République et le peuple français, qui, désespéré, doit savoir que la connaissance est au fond de lui et que le moment approche où elle sera utilisée équitablement pour réduire la corruption institutionnalisée qui l’empêche de mieux vivre. Je vous rappelle que la France est tout de même la 23e nation classée pour sa corruption dans le monde…
    Je n’assigne pas tout le monde, je me défends contre le maintien abusif de ma tutelle, comme en a le droit tout citoyen victime de cette justice.

    Maître Boulfiza était mon avocate bien avant la nomination de cette tutrice, et a été dessaisie huit mois avant que la cour d’appel ne confirme mon expulsion abusive. Aussi, ces 4 500 € permettent à la tutrice de la même manière qu’elle a fait valoir à la juge des tutelles qu’il restait 1 000 € d’une facture qui a été surfacturée pour protéger mes meubles devant la juge des tutelles.

    Madame la Présidente, vous pouvez commencer à assainir cette justice en fai-sant la distinction entre le certificat d’un médecin consciencieux et le certificat de complaisance d’un expert-psychiatre qui est de ce fait corrompu. Ceci afin de faire jurisprudence. Car trouvez-vous normale cette attitude pour dépouiller cette pauvre femme de ses biens par tous les moyens, et les plus illicites ?

    « En 2011, la cour d’appel de Bordeaux refuse de lever sa tutelle, rejetant les certificats de deux autres médecins établissant qu’elle ne souffre d’aucune altéra-tion mentale ».
    Je conclurai par ce que Pierre Daco écrit : « L’homme ne peut pas faire sa propre psychanalyse, car il serait trop effrayé de voir comme il est, et son noyau initial inconscient refoulé qui le préserve toute sa vie éclaterait comme une bombe nucléaire ».

    Pourtant, notre raison d’être est de faire éclater notre noyau initial inconscient refoulé par notre conscient où tout au moins de le réduire le plus possible, pour nous élever sur le chemin de la connaissance, et parvenir à nous libérer du mental, et sortir du trou noir où il nous a enfermés (inconscient) qui nous gêne, comme nous le voyons à travers cette justice.

    Si actuellement on ne peut rien faire sur le fond pour humaniser la psychiatrie, la justice et l’économie comme il le faudrait, c’est parce que la corruption s’étend à tous les rouages de la société. Cette prise de conscience doit produire un changement de mentalité qui doit permettre de sortir du mental, ce que je prouve, pour être ma raison de vivre. Cette possibilité nous permet de continuer notre mutation vers la connaissance de l’infini ou de l’absolu, et de sortir de la troisième dimension qui est le bas astral, ceci pour rentrer dans la quatrième dimension qui est la prise de conscience et dans la cinquième dimension qui est un monde parallèle appelé l’au-delà conçu par notre mental suivant notre culture, et que nous devons maîtriser, voire dominer pour faire évoluer la psychiatrie en la rendant plus humaine pour la sortir de son ignorance. HUSSERL parle de façon plus explicite de « monde perçu en dessous des constructions de la pensée ». Aussi, notre conscient doit le dominer pour éviter que l’inconscient ne produise un dérèglement grave du mental. Et cette domination nous permet aussi de nous élever vers le sommet de la connaissance par le « connais-toi toi-même » socratique pour assainir la psychiatrie, la justice, l’économie, la politique et l’international dominés par le Satan de la bible, (l’inconscient).

    L’évolution ne peut se produire qu’en respectant les valeurs morales pour réduire cet inconscient qui forme la corruption dans l’humain. Ceci m’oblige à réactualiser mon livre* qui est évolutif. Aussi, la connaissance dépend de notre savoir, car si elle est une et indivisible, elle est divisible en chacun de nous, pour que nous puissions évoluer dans notre direction. J’écris contre l’inconscient qui n’a pas de limites, pour être en nous, et si nous ne l’avions pas, nous serions parfaits. Dans un livre sur la médecine, j’ai lu que l’homme devrait commencer à vieillir à partir de 120 ans et qu’elle ne comprend pas pourquoi il vieillit avant. Maintenant, vous savez pourquoi !

    Nous sommes encore loin d’atteindre le sommet de la connaissance que nous devions acquérir en fonction du savoir et du temps, et dont la progression in-verse son acquis culturel au fur et à mesure par la suprématie du conscient sur l’inconscient, et ceci vers l’infini. Ce qui permet de s’apercevoir que les sciences humaines et ce qui les concerne, pour être conçues par le mental, sont dominées par l’inconscient. De ce fait, des auteurs cherchent des complications, alors que la vérité est simple à découvrir. Et comme le disait Einstein : « La vérité doit être tellement simple qu’elle doit être à côté de nous, c’est pour cela que nous ne la voyons pas. » Pour la voir, il suffit d’inverser son esprit positivement par la remise en cause de soi, et par le « connais-toi toi-même » socratique pour élever son conscient et sa conscience.
    Cette lettre n’est rien par rapport à ce qu’elle devrait être, car comme cela est connu des scientifiques, l’homme a très peu de conscient. Aussi, nous devons chercher à le développer en nous, et autour de nous.

    Si des magistrats veulent commencer à être honnêtes envers eux-mêmes pour sortir de leur inconscient, qu’ils opposent les certificats de non-psychiatres aux certificats des psychiatres, quand ils voient qu’ils sont de complaisance, pour réduire l’abus des mises sous tutelle et les spoliations, et ainsi la justice com-mencera à s’assainir.

    Dans l’attente de votre décision, je vous prie de bien vouloir agréer, Madame la Présidente, l’expression de ma très haute considération.
    Jean-Claude MARIE

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    • laconnectrice

      Monsieur, je comprends vôtre souci mais je crains que vous ne l’aggraviez en envoyant une aussi longue lettre que, personnellement je n’ai pas pu lire jusqu’au bout. Alors imaginez un juge qui doit traiter des milliers de dossiers…Malheureusement, étant sous tutelle vous ne pouvez même pas prendre un avocat sans l’accord de vôtre tutrice. Résumez vôtre situation en une page au plus et envoyez-là accompagnée de la lettre de vôtre médecin traitant au procureur de la République pour demander la révision de vôtre placement sous tutelle.
      Je vous souhaite d’avoir gain de cause. Cordialement, L.C.

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  2. voila je mapelle frederic rallu je suit dans les vogees 88 600 je un peux ma vie jait mes parent suit a mon enfanse je ne que sousde jutice la tuelle je pence que abuzer de moi je pence que jutice et fiable moi jait ete sous tutelle renfocer jait mes deux enfant et jait passer doulureux avec deux enfants elle on prix toute ma vie sait resentiment atuelle un eritage diparue des salaire cotoepe de mon enfants bouse elle deux mutuelle elle peyer pas les facture ex coment fait quand a plus agent quant de solde et vous vous plus rien que vous fait des menasse avec un avoca qui lui a juger mes afaire que dans passer se sait de tout sa sait a juger mon passer et sa depuie l age de22ans jait sait en travaient tout le tent mon epouse a voulu faire les chose mait ete soper et sutout pas entendu elle etait comersente elle sait se qait les conte on ne lecouter coment contre pesonne la elle vous connesse quelle socupe de vores vie rien jute les yeux pour pleurer voi se qui me reste et pesonne ne prendre sait ou grent jour il des retonber on me donner des reponse

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  5. Les majeurs protégés ne sont pas BLOQUES pour rien ce qui entraîne l’impossibilité de se défendre. La charte des tuteurs et curateurs et l’application des articles sont volontairement contradictoires. Une curatelle sans droit de regard est une tutelle et la tutelle est une aliénation abusive des droits élémentaires

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