Des Antifas, identifiés et interpellés depuis l’attaque d’une voiture de police le mercredi 18 mai avaient démoli et incendié une voiture de police qui revenait d’une mission sur le périphérique et n’avait rien à voir avec la manifestation de la police qui se déroulait ce jour-là.
La voiture qui circulait quai de Walmy, non loi de la place de la République, était conduite par un adjoint de sécurité martiniquais Kevin Philippy et sa collègue qui avait pu sortir de la voiture avec l’aide d’un manifestant dès la projection d’une bombe fumigène à l’intérieur du véhicule.
A son tour, Kevin Philippy sort de l’auto avec un étonnant flegme apparent et fait face courageusement avec détermination à ses agresseurs. Le policier est un colosse entraîné aux sports de combats. Il pare à plusieurs reprises la barre de fer que manie haineusement, insultes à l’appui, le bobo antifa qui finalement prend la fuite.
Pendant ce temps-là des passants effrayés se réfugiaient dans les boutiques environnantes accueillis par les commerçants. Les riverains prenaient des photos, c’est pourquoi nous avons des preuves indiscutables de ce qui s’est passé.
Le courageux Kevin Phillipy a été décoré décoré de la médaille d’or de la sécurité intérieure place Beauvau, en présence de François Hollande, par Cazeneuve et on espère qu’il recevra aussi une légion d’honneur bien méritée, contrairement aux gogos qui garnissent les salons de l’Elysée le 14 juillet.
On lui souhaite aussi d’être définitivement admis dans la police comme gardien de la paix puisqu’il est seulement adjoint de sécurité, ce qui lui a été promis.
Ah, si tous les flics étaient de la trempe de Kevin Philippy …
Pour en savoir plus
- http://www.franceinfo.fr/fil-info/article/voiture-incendiee-le-policier-n-pense-qu-sa-famille-791485
Kevin Philippy, l’adjoint de sécurité agressé par des casseurs près de la place de la République mercredi à Paris, s’est exprimé pour la première fois, à l’occasion d’une cérémonie en son honneur au ministère de l’Intérieur ce samedi.
« Je n’ai pensé qu’à ma famille », a expliqué le jeune homme de 29 ans, dont Bernard Cazeneuve le ministre de l’Intérieur a demandé l’intégration au sein de la police nationale comme gardien de la paix.
« Il fallait que je rentre. J’ai exécuté la première mission qu’on a à la police nationale : rentrer en vie », a témoigné Kevin Philippy, décoré de la médaille d’or de la sécurité intérieur. Il s’est dit « heureux. C’est le bout du tunnel. C’est enfin le bout du tunnel », a-t-il répété.
Dans un contexte très particulier en termes de communication, le ministre de l’Intérieur a décidé d’en faire un héros. Kevin Philippy, l’adjoint de sécurité agressé par des casseurs lors de l’incendie de son véhicule de police mercredi à Paris va devenir gardien de la paix, a annoncé ce samedi 21 mai Bernard Cazeneuve, en louant « l’extrême maîtrise » dont il a fait preuve.
L’homme de 29 ans, très ému, a été décoré de la médaille d’or de la sécurité intérieure place Beauvau, en présence de François Hollande. Ont également été décorés quatre autres membres des forces de police et de gendarmerie, dont Alison Barthélemy, qui se trouvait avec Kevin Philippy dans la voiture incendiée mercredi près de la place de la République.
Quelques heures plus tard, quelques-uns des agresseurs étaient interpellés. Un nom sortait: Antonin Bernanos. Un ami de Clément Méric, ce jeune presque gentil que d’affreux extrémistes de droite auraient assassiné un soir de juin 2013. Comme lui, Antonin est membre du collectif Action antifasciste Paris-Banlieue.
Une ombre passe. Les antifas ne seraient donc pas tous des anges?
Le JDD le décrit comme un «fils de bonne famille, domicilié dans le quartier de Montparnasse et travaillant à Issy-les-Moulineaux (Hauts-de-Seine)».
Un exemplaire normé de l’extrême-gauche. Comme Méric.
L’expression «fils de bonne famille» laisse supposer que le jeune français d’un milieu ouvrier qui vote Front national est de « mauvaise famille ».
Bernanos. Le nom titille la mémoire.
Bernanos comme l’auteur de Sous le soleil de Satan et d’un Journal d’un curé de campagne? Comme le militant de l’Action française, le fervent catholique, l’admirateur du Général de Gaulle?
Antonin en serait l’arrière-petit-fils.
Une autre ombre passe.
Voilà où nous en sommes. Les prétendus prolétaires en révolte contre le système vivent dans les beaux quartiers, dans des familles bourgeoises et sont éduqués à gauche par des parents bobos qui préfèrent l’immigré clandestin au Français de souche.
Antonin Bernanos et son frangin, arrêté en même temps que lui, étaient connus des services de police pour leur violence. Ils auraient dû être interdits de manifestation, mais notre justice toujours aussi «mur des cons» en a décidé autrement. «Va mon cher Antonin, va réduire du flic en bouillie», lui a susurré à l’oreille le tribunal administratif en considérant le préfet de police ne produisait «aucun élément permettant de retenir que le suspect a personnellement participé à ces dégradations et violences »..