Ce soir, vers 20h, il faisait frisquet et les oiseaux du parc étaient agités. Comme à chaque prélude au crépuscule, mésanges, pigeons et canards étaient très actifs, les premiers volant de branche en branche pour s’élancer vers le ciel jusqu’à disparaître à ma vue. Les passereaux surtout, bien que rares, faisaient un joyeux tintamarre. Les gros nuages sombres se laissaient pousser par le vent froid pour laisser la place à des confrères plus légers qui jouaient avec les rayons du soleil. Les branches nues des marronniers commençaient à se gonfler de bourgeons brillants.
5 jours auparavant, le 31 mars.