Don’t let anyone break your wings, you’re free. fight and get your RIGHTS! Ne laissez personne briser vos ailes, restez libres, battez vous pour vos DROITS !
Rahaf Mohammed al-Qunun est une saoudienne de 18 ans qui a fuit son pays et sa famille pour avoir été séquestrée pendant 6 mois et être sous le coup d’un mariage forcé.
Alors qu’elle était en transit pour l’Australie à l’aéroport de Bangkok, les douaniers thaïlandais avaient confisqué son passeport (Pourquoi ? sur ordre des saoudiens ?) et envisageaient de la renvoyer en Arabie saoudite où elle était menacée de mort en tant qu’apostate et évadée de la tutelle masculine. Étourderie ou intention secrète, les officiers n’ayant pas confisqué le téléphone, la jeune fille devait envoyer des tweets pour faire connaître sa situation. Ces messages devaient être relayés dans le monde entier avec l’aide de dissidents musulmans et des deux amies déjà expatriées qui l’avaient aidée et encouragée dans sa fugue.
Rapidement, le HCR envoyait un émissaire et lui octroyait le statut de réfugiée ce qui empêchait la Thaïlande de procéder à son extradition. Alors que le peuple australien se réjouissait de donner l’asile à Rahaf, le gouvernement tergiversait alors que le temps manquait car le père et l’un des frères étaient arrivés à Bangkok pour la récupérer. Le père disant que sa fille avait fugué parce qu’elle se sentait « négligée » dans sa fratrie de dix. Le mensonge du père était patent puisque sa fille avait fait savoir qu’il l’avait séquestrée 6 mois après qu’elle eut renoncé à l’islam et coupé ses cheveux en signature de sa décision.
Le gouvernement australien est ami avec l’Arabie saoudite et les états du Golfe ce qui n’a pas empêché Bahrein de faire emprisonner en Thaïlande l’un de ses ressortissants, Hakeem Alaraibi, réfugié en Australie et joueur de foot dans l’équipe de Camberra. D’ailleurs, au moment où Rahaf tremblait de peur réfugiée dans un réduit de l’aéroport, la ministre australienne des affaires étrangères se trouvait à Bangkok pour négocier la libération du joueur. Peut-être que demander une libération et accorder le staut de réfugié dans le même temps était diplomatiquement impossible ?
Le temps passant, Rahaf al-Qunun voyait ses risques d’être expulsée par les thaïlandais s’accroître et c’est alors qu’intervint Justin Trudeau qui en deux temps trois mouvements accorda le droit d’asile à l’adolescente qui prit l’avion dans la foulée.
Pendant son confinement à l’aéroport de Bangkok, Rahaf est restée en compagnie de la journaliste australienne Sophie MacNeill qui l’a soutenue et créé un tweet #saverahaf qui est toujours en activité et permet de suivre les péripéties de la fuite de la petite saoudienne
La fugue de Rahaf a rappelé la terrible condition des femmes saoudiennes dont près de 600 avaient fui le pays en 2015. Des féministes qui militaient pour le droit de conduire, contre la tutelle masculine et leurs droits en général sont toujours enfermées dans des geôles où elles sont torturées. Les fugueuses qui ont été renvoyées dans leur pays ont disparu. Après l’assassinat du journaliste Kashoggi les tentatives de fuite sont d’autant plus nombreuses que les sujets de MBS sont terrorisés, à commencer par les femmes dépourvues d’autonomie et de droits.
La presse francophone n’a pas beaucoup relayé le drame de Rahaf alors que la presse anglophone a suivi le cas de très près, sans doute parce que la jeune femme s’exprime en anglais mais peut-être pas seulement, la France évitant de contrarier sa communauté musulmane et ses amis saoudiens.
Quel est le point de vue de l’islam sur les femmes « infidèles » (non-musulmanes) ? Elles ne sont bonnes qu’à « une chose, le plaisir de l’homme musulman », a affirmé un musulman à un groupe de jeunes filles chrétiennes du Pakistan, avant de terroriser et assassiner l’une d’entre elles. Dans le Coran, (voir 04 : 24), les femmes non-musulmanes capturées au cours d’un djihad peuvent être achetées et vendues comme esclaves sexuelles. Ainsi agit l’État islamique.
Nous sommes dans le fief de la secte terroriste État islamique: à Raqqa, dans le nord de la Syrie. Ici, les femmes ont seulement le droit d’obéir et de procréer. Pour le journal Expressen, deux courageuses Syriennes ont filmé en caméra cachée la ville occupée. Elles savent qu’elles seront lapidées à mort si elles sont prises sur le fait. Mais elles veulent que le monde sache à quoi ressemble leur quotidien.
Direction la Syrie avec un document exceptionnel. Vous allez découvrir la ville de Raqqa, une ville de plus de 200.000 habitants prise il y a près d’un an par les hommes de l’organisation de l’Etat islamique et qui est devenue depuis la capitale de leur califat. Comment vit on au quotidien sous le joug des islamistes les plus intransigeants? Qui sont ils, d’ou viennent ils, quels sont leurs moyens? Comment opére la police islamique? Comment s’exerce la justice? Au péril de sa vie, une syrienne cachée derrière un niqab désormais imposé à toutes les femmes a filmé clandestinement la vie quotidienne dans cette ville ou elle est né il y a près de 25 ans. Ce document, tourné en avril et que nous diffusons maintenant vu son caractère exceptionnel éclaire donc d’un jour nouveau cette organisation de l’Etat islamique qui fait régner la terreur sur un territoire de plus en plus vaste. Le commentaire est signé Alexandra Renard, pour France 24.
Une jeune britannique a été victime d’une attaque à l’acide à Londres, Chaharazad l’a été en France. C’est cela que veulent les islamophiles de France et d’Europe ?
Malgré les trop nombreux exemples des exactions commises par des musulmans contre les femmes, il se trouve en France de nombreuses tendances, y compris féministes, pour les dédouaner, leur trouver des excuses, défendre l’Islam-religion-de-paix-et-d’amour, justifier le port du voile et des signes ostentatoires de l’Islam, se détourner pieusement du terrorisme musulman en général et de ses crimes sexistes en particulier (dont les mariages forcés, la lapidation ou l’attaque à l’acide ) pour jeter l’opprobre sur lextrêmedroite, le fascisme, le populisme, le patriotisme et le racisme. Cet aveuglement mortifère couvre les crimes commis au nom de l’Islam et aux hurlements d’Allahua Akbar, contre toutes les femmes et les chrétiennes en particulier dans les pays où l’Islam fait la loi. Sachant que l’Islam fait déjà la loi dans de nombreux quartiers de France et que malgré cette réalité l’Etat laisse faire, il y a tout lieu de s’inquiéter et d’agir.
L’aveuglement idéologique de nos concitoyens sur les réalités de l’Islam mène tout droit vers notre suicide, avenir dont le traitement des femmes est à la civilisation ce que le canari est à la mine : Il annonce le danger.
Je vous invite à lire l’article ci-dessous qui donne de nombreux exemples de la manière dont les musulmans, djihadistes et simples musulmans, traitent les femmes non musulmanes ou rebelles. Si le sort des femmes yazidis est insupportable, les femmes musulmanes qui osent refuser un mariage forcé ou se rebeller contre la loi des mâles sont vitriolées ou brûlées vives. C’est ça que les islamophiles veulent pour la France et l’Europe ? Réveillez-vous femmes et hommes de bonne volonté !
En Irak, 19 filles yazidis ont été enfermées dans des cages de fer et brûlées vives, pour avoir refusé de copuler avec les djihadistes.
« Les femmes appartenant à des minorités religieuses sur des territoires contrôlés par l’Etat islamique passent de djihadiste en djihadiste. Quand l’un se lasse de violer et abuser une fille, il la vend à l’un de ses copains qui la viole et en abuse à son tour ». — Samuel Smith, The Christian Post.
Un couple dont les deux filles ont été kidnappées par l’État islamique a trouvé sur le seuil de sa porte un sac contenant les cadavres dépecés de leurs filles et une vidéo retraçant les viols et tortures qu’elles avaient subies.
« Les filles chrétiennes sont considérées comme des marchandises qu’on casse à loisir. Abuser d’elles est un droit. Dans la mentalité de de cette communauté, il ne peut s’agir d’un crime. C’est le butin de guerre des musulmans ». — Des villageois du Pakistan.
La loi islamique, toujours sévère, l’est plus encore pour les femmes. Selon le Coran, les hommes ont « autorité » sur les femmes et sont en droit de les battre en cas de « désobéissance » (4 : 34). Selon le prophète Mahomet, les femmes sont moins intelligentes que les hommes – deux femmes sont nécessaires pour égaler le témoignage d’un homme – et la majorité des damnés de l’enfer est composée de femmes qui, comme les ânes et les chiens, ont la capacité de distraire un homme de sa prière et ainsi l’annuler.
Quel est le point de vue de l’islam sur les femmes « infidèles » (non-musulmanes) ? Elles ne sont bonnes qu’à « une chose, le plaisir de l’homme musulman », a affirmé un musulman à un groupe de jeunes filles chrétiennes du Pakistan, avant de terroriser et assassiner l’une d’entre elles. Dans le Coran, (voir 04 : 24), les femmes non-musulmanes capturées au cours d’un djihad peuvent être achetées et vendues comme esclaves sexuelles. Ainsi agit l’État islamique.
Emily Fuentes, directrice de la communication d’Open Doors, une organisation de défense des droits de l’homme qui agit en faveur des chrétiens persécutés, explique:
« Malheureusement, les femmes sont de plus en plus la cible privilégiée de groupes terroristes [musulmans]. On ne compte plus les incidents partout dans le monde, ou les femmes sont enlevées par des groupes extrémistes radicaux, violées et forcées de se convertir à l’islam…. Beaucoup sont également vendues à l’encan. Cette brutalité se produit au Moyen-Orient, en Afrique et en Asie. Dans ces zones géographiques, les femmes sont des citoyens de seconde classe persécutées en raison de leur sexe. Minoritaires en tant que femmes et chrétiennes, elles subissent une double persécution. Nous ne disposons pas de statistiques précises, mais nous savons que les femmes sont persécutées par millions…. Dans les pays à majorité musulmane, les femmes chrétiennes sont systématiquement privées de leur liberté et des besoins humains fondamentaux ».
Les femmes chrétiennes se voient appliquer une une double peine : à peine tolérées en tant que femmes et persécutées en tant qu’« infidèles » non-musulmanes, elles sont la cible première de la violence islamique.
Aujourd’hui, le sort des non-musulmanes prisonnières de l’Etat islamique est connu. Depuis la conquête de Mossoul en juin 2014, le Califat a exécuté au moins 250 captives non-musulmanes (yazidis et chrétiennes la plupart du temps) qui ont refusé leur statut d’esclaves sexuelles. Récemment, 19 filles yazidis ont été enfermées dans des cages de fer et brûlées vives en public, pour avoir refusé de copuler avec les djihadistes.
.Selon un article de presse publié au lendemain de l’alerte lancée par Open Doors sur le sort des non-musulmanes:
« Les femmes appartenant à des minorités religieuses sur les territoires contrôlés par l’Etat islamique passent de djihadiste en djihadiste. Quand l’un se lasse de violer et abuser une fille, il la vend à l’un de ses copains qui la viole et en abuse à son tour ».
« …elle a été achetée et vendue par huit djihadistes différents… Nous étions exhibées [sur les marchés d’esclaves sexuelles]. Les hommes venaient et nous regardaient comme des objets. C’était comme un marché de voitures d’occasion… Les femmes étaient vendues – à peine 20 dollars (18 euros) – ou échangées contre des téléphones mobiles, voire données en cadeaux »..
Cette jeune femme a été violée au moins trois fois par jour pendant plus de 16 mois par d’innombrables combattants de l’Etat islamique, contrainte de prendre des contraceptifs et des médicaments abortifs, et a tenté à plusieurs reprises de se suicider pour échapper à la violence. Son récit, très typique, se retrouve sans beaucoup de variantes, dans le témoignage de nombreuses autres rescapées non-musulmanes.
D’autres informations récentes ont fait état : d’« une petite fille de 8 ans achetée, vendue et violée par huit miliciens différents en l’espace de 10 mois »; d’une « esclave sexuelle qui s’est immolée par le feu pour éviter d’être violée » ; d’un couple qui, après le kidnapping de leurs filles par l’État islamique, a trouvé sur le seuil de sa porte un sac contenant le corps dépecé de leurs filles et une vidéo retraçant les viols et tortures qu’elles avaient subi ; et de femmes chrétiennes et alaouites violées et abattues par les djihadistes de l’Etat islamique qui avaient envahi leur village.
Dans une video de l’Etat islamique, des djihadistes rient et plaisantent sur le commerce des esclaves sexuelles yazidis.
Ces violences islamiques extrêmes contre les femmes ne sont pas uniquement le fait de groupes comme l’Etat islamique ou Boko Haram – un mouvement nigérian qui se définit uniquement en référence à l’islam et qui doit sa notoriété à l’enlèvement, l’asservissement, le viol et le meurtre de jeunes chrétiennes. Chaque année, environ 700 chrétiennes et 300 hindoues sont enlevées, réduites en esclavage, et violées au Pakistan. Les chiffres paraissent faibles mais, compte tenu du fait que les chrétiens et les hindous représentent chacun un pour cent seulement de la population pakistanaise, essentiellement musulmane, ils méritent être pris en considération.
Quatre jours après qu’Open Doors ait attiré l’attention sur le sort des femmes chrétiennes, deux musulmans pakistanais ont attaqué une chrétienne à son domicile, profitant de l’absence de son mari, un soldat en poste dans une garnison lointaine. Ils ont attaché la femme et l’ont violée à tout de rôle, menaçant d’assassiner sa petite fille de deux ans si elle résistait. Selon le témoignage de cette femme, âgée de 30 ans :
« Les deux hommes m’ont traité comme un animal ; ils me disaient que les chrétiens n’ont aucune valeur …. les femmes chrétiennes sont toutes des putains disaient-ils, et ils menaçaient de revenir me violer à nouveau si je les dénonçais ».
Femme et infidèle dans un pays à majorité musulmane, elle n’a trouvé aucun appui auprès de la police et aucun avocat n’a voulu la défendre. Cette même semaine, cinq autres jeunes chrétiennes ont été enlevées, converties à l’islam, et contraintes de se « marier » à leurs ravisseurs.
Les exemples de viol et même d’assassinats de chrétiennes – et parfois aussi de jeunes chrétiens – ne manquent pas au Pakistan. Après qu’une petite chrétienne de 9 ans ait été violée par un musulman qui se vantait d’avoir « rendu le même service à d’autres jeunes chrétiennes », les villageois ont expliqué :
« Ce genre d’événements est fréquent. Les chrétiennes sont considérées comme des marchandises qu’on peut maltraiter à loisir. Abuser d’elles est un droit. Dans la mentalité [musulmane], ce n’est même pas considéré comme un crime. Les chrétiennes sont un butin de guerre ».
La même situation prévaut en Egypte. En juillet 2012, Chris Smith, un élu au Congrès des Etats Unis, a témoigné de la « progression en flèche des enlèvements de jeunes filles coptes, de leurs conversions et mariages forcés. Ces femmes sont terrorisées et, par conséquent, marginalisés ».
Le pape Shenouda III, le dernier – et très diplomate – chef de la communauté chrétienne d’Egypte, a dénoncé cette tendance dès 1976 : « Il est devenu courant de convertir les filles coptes à l’islam et d’user de la terreur pour les marier à des musulmans ». Entre 2008 et 2013, près de 600 cas de chrétiennes enlevées, violées et converties de force ont été recensés en Egypte. Le seul titre d’un rapport de 2012, « Les enlèvements et conversions forcés de chrétiennes coptes en Egypte ont considérablement augmenté », indique que la situation ne s’est guère améliorée.
Les femmes jeunes sont des cibles sexuelles, mais les femmes âgées sont sexuellement avilies. Le 20 mai, en Egypte, une chrétienne de 70 ans a été dénudée et exhibée de force dans les rues de Minya. La foule a craché sur elle, l’a sifflée en hurlant « Allahu Akbar » (« Allah est le plus grand »).
En Ouganda, deux jours avant la publication du rapport Open Doors, des musulmans ont battu et violé une chrétienne de 22 ans qui accusait l’imam de la mosquée d’avoir assassiné son père, à l’issue d’une dispute théologique. Un mois plus tôt, une petite fille de 13 ans été violée par des musulmans qui lui ont dit : « Ceci est le deuxième avertissement pour ta mère qui déshonore la foi des musulmans ». La mère de la jeune fille est une ex-musulmane convertie au christianisme,
Même en Europe, ce sont les femmes qui souffrent le plus de l’afflux de migrants musulmans. La croissance exponentielle des viols et agressions sexuelles en Allemagne, en Suède… obéit à la même logique qu’au Pakistan ou dans les territoires contrôlés par l’État islamique. Cette logique s’exprime dans les proposqu’un musulman immigré en Allemagne a prononcé après avoir traqué, insulté et agressé sexuellement une femme : « les femmes allemandes sont là pour le sexe ».
Autre point important, si les femmes sont les cibles privilégiées des agressions sexuelles, les hommes ne sont pas à l’abri : les musulmans les persécutent en tant que « blasphémateurs » et « apostats. Le concept de chevalerie est totalement absent de l’islam quand s’agit de terroriser les infidèles et de les remettre à leur place. La religion de Mahomet pratique à cet égard, un égalitarisme strict. Ainsi, au Pakistan, Asia Bibi, une chrétienne accusée de blasphème, survit dans le couloir de la mort depuis 2009 tandis qu’un couple chrétien accusé d’avoir profané un Coran, a été brûlé vif.
Le rapport Open Doors a été illustré au moment de sa publication par plusieurs actes criminels commis contre des chrétiennes :
Indonésie : selon les mots mêmes des commentateurs, « un usage sans précédent de la charia sur un non-musulman » a rendu possible la flagellation publique d’une chrétienne de 60 ans. Elle s’est vue infliger 30 coups de canne pour vente d’alcool.
État islamique : Une chrétienne a été exécutée par des miliciens islamistes pour avoir refusé d’abjurer sa foi en Jésus Christ. L’Etat islamique a également exigé d’un groupe de religieuses dominicaines qu’elles se convertissent à l’ Islam ou s’acquittent de la jizya, la taxe que doivent payer tous les non musulmans (Coran 09:29). « Les sœurs ont [fui] mais au cours de leur exode, les plus âgées ont souffert de faiblesse cardiaque, voire même de crises cardiaques en raison du stress. Au cours des 18 derniers mois, 23 d’entre elles sont décédées. On a compté parfois jusqu’à trois décès par semaine. Elles avaient le cœur brisé » a déclaré sœur Huda.
Ouganda : Un musulman a étranglé sa femme qui s’était convertie au christianisme. Un autre musulman a battu et a menacé de massacrer sa femme aux cris de « Allahu Akbar » en raison de sa conversion au christianisme.
Les musulmanes tuent rarement leur mari pour apostasie, en raison du statut d’infériorité des femmes dans le monde musulman.
Nul ne peut souhaiter être une femme en pays musulman.
Raymond Ibrahim est l’auteur de Crucified Again: Exposing Islam’s New War on Christians (Les nouveaux crucifiés : la guerre de l’islam contre les chrétiens, Editions Regnery avec l’appui du Gatestone Institute, avril 2013).
Chaque année, nous célébrons la journée internationale des droits des femmes pour honorer les grandes figures féminines de tous les temps, récapituler toutes les discriminations qui affligent les femmes en faisant le point sur le respect de leurs droits et exprimer notre solidarité avec toutes celles qui sont écrasées et torturées par des mâles cruels.
Que signifie le fait d’afficher notre solidarité avec des femmes cruellement opprimées quand nous accueillons des milliers de migrants qui viennent de pays où les femmes sont exploitées, marchandisées, martyrisées, infériorisées, prostituées et massacrées pour l’honneur ?
Il est tout de même aberrant que nous donnions l’hospitalité à des hommes au nom des droits de l’Homme alors qu’ils ne respectent ces droits ni chez eux ni chez nous où ils considèrent les femmes comme du gibier ou une opportunité de placement envers et contre tout respect.
Je vous invite à lire ou relire cet état des lieux que j’avais écrit en novembre 2016 et si vous avez encore envie d’héberger, protéger et nourrir des migrants, c’est que vous leur ressemblez et que vous devriez migrer dans leurs pays pour savourer les spécificités culturelles qui vous semblent si respectables. OK, je dis un peu n’importe quoi parce que je suis bouleversée d’indignation à la pensée que l’on puisse ouvrir les bras à de dangereux criminels qui seraient excusées parce que leurs victimes ne sont que de pauvres femmes.
Dans l’élan du fantastique mouvement libérateur #balancetonporc il serait temps de rajouter #balancetonporcdemigrant.
La Connectrice
Migrants . Et si on s’apitoyait sur les femmes de leurs pays ?
Toutes les aimables et charitables bénévoles qui se pressent autour des migrants, ces personnes compatissantes et pour la plupart sincères, savent-elles qu’elles aident des criminels de la guerre qu’ils mènent contre les femmes de leurs pays respectifs ?
Ces mâles migrateurs originaires du Soudan, de l’Érythrée, de l’Afghanistan ou du Nigéria sont acteurs, complices et bénéficiaires de cultures où les femmes sont cruellement maltraitée. Elles son excisées, infibulées, mariées de force dès qu’elles sont nubiles. Elles sont vendues ou enlevées, séquestrées et violées pour faire baisser le prix de la marchandise. Elles y sont interdites d’éducation, privées de droits et de liberté de se déplacer sans autorisation du père, frère ou mari. Elles sont fouettées ou emprisonnées quand elles refusent de se soumettre à la charia, la loi islamique qui régit leur vie au service du mâle et de son bon plaisir.
On peut d’ailleurs se demander pourquoi ce ne sont pas ces femmes qui demandent l’asile politique. A une époque, nous, féministes, demandions que les femmes victimes de crimes sexistes bénéficient automatiquement de l’asile politique mais ce critère ne fut pas retenu parce que pour nos « amis » de gauche, la question des femmes n’est pas politique.
Imaginez qu’on nous demande d’accueillir en masse des bourreaux en fuite. Éprouveriez-vous de la pitié et de la compassion pour ces pauvres prisonniers politiques qui fuiraient le régime qui voudrait les juger et les condamner pour leurs crimes ? Certainement pas. Mais quand il s’agit de victimes femmes, tout le monde ferme les yeux au nom du respect de la culture, de la religion et de la non ingérence dans les affaires de famille.
Pour exciter la pitié des Européens, ces mâles exhibent leurs cicatrices comme preuve des tortures qu’ils ont subies dans leur pays d’origine ou qui leur ont été infligées par des bandits sur le chemin de l’émigration.
Un Érythréen exhibe ses cicatrices de tortures pour attendrir les bénévoles. Il a été victime du trafic humain dans le Sinaï où des bédoins (ou l’EI) kidnapperaient les migrants pour leurs organes ou pour exiger des rançons. Source image : http://alencontre.org/moyenorient/egypte/sinai-le-desert-des-tortures.html
Verrait-on des femmes exhiber leur vulve mutilée, leur périnée durci et déformé par de multiples bourrelets de cicatrisation , leurs fistules anales ou urinaires ? Savez-vous que la vulve, les lèvres vaginales, le périnée et parfois l’anus doivent être re-charcutés à chaque accouchement ou à chaque rapport pour les excisées et excisées/ infibulées ? Ces femmes n’exhibent jamais les conséquences de leur excision qui sont pourtant dramatiques et multiples y compris l’incontinence urinaire et fécale dont l’odeur sert de prétexte à les chasser de leur famille, à les exclure du village, à les répudier afin que le mari puisse en prendre d’autres plus neuves. Celles qui ne sont pas exilées dans leur propre pays sont mortes au cours de l’accouchement compliqué par leurs mutilations ou ont perdu leur bébé pour les mêmes raisons.
Désinfibulation pour permettre l’accouchement. Puis la femme sera recousue, ceci autant de fois qu’elle accouchera, avec chaque fois de nouveaux bourrelets de cicatrisation douloureux ou mettant la vie de la mère et de l’enfant en danger.
Ces femmes mutilées par et pour leurs compatriotes ne méritent-elles pas votre compassion ou la méritent-elle moins que leurs hommes qui approuvent les horreurs qu’on leur inflige parce qu’une femme non mutilée est une femme « sale » dont personne ne veut sauf les prostituteurs ? Comment peut-on accueillir ces bourreaux, les nourrir, les soigner, les habiller, les héberger, les protéger en leur accordant l’asile politique ? Ignorance, mépris, cécité idéologique, cynisme politique, misogynie partagée ?
Même mis à l’abri en Europe, ces migrants, culture oblige, poursuivent leurs pratiques gynécidaires et misogynes en exploitant les gentilles bénévoles qui les aident, en en violant et tuant certaines comme la suédoise Elin Krantz en 2010 ou la petite Marion Bouguenais le 19 mars 2012. Une femme de 67 ans a été sexuellement agressée jeudi dernier, le 10 novembre 2016, par un migrant soudanais de 16 ans. Je ne reviendrai pas sur le taharruch, le jeu du viol collectif, qui a fait des centaines de victimes en Europe du Nord avant et après le drame de Cologne au Nouvel an 2016.
Elin Krantz, militante suédoise anti raciste avant et après son viol par un immigrant Ethiopien en 2010
Une image vaut mieux que mille mots
Malgré tous ces événements tragiques pour les femmes et l’humanité tout entière, il s’est trouvé des gens pour donner des excuses culturelles à des migrants indifférents à la misère d’une des leurs marchant nu pieds dans la neige tout en portant deux enfants et en tenant une troisième par la main ! Non seulement ces virils migrants ne sont pas solidaires de leurs sœurs de misère mais tels les Nigérians, ils embarquent avec des milliers de jeunes Nigériannes -certaines âgées de 12 ans-captives de réseaux de prostitution. 433 Nigérianes sont arrivées sur les côtes italiennes en 2013, 1.454 en 2014, 5.653 en 2015, 7.768 au 30 septembre de cette année. (Source OIM -Office international des migrations). Au mieux leurs compatriotes nigérians les ignorent, au pire ils gèrent les réseaux de prostitution et surveillent la marchandise.
Ne pas aider une femme en peine est culturel disent les défenseurs de ces migrants
Cette photo a été prise par le photographe Vajinovic, de l’AP avec la légende suivante : «Un groupe de migrants marche dans la rue en direction de la frontière entre la Serbie et la Croatie, près du village de Berkasovo, lundi le 19 octobre 2015. l’avocat militant conservateur Canadien Ezra Levant le 3 janvier 2016, la photo est devenue virale et a fait le tour du monde soulevant l’indignation des authentiques humanistes de tous bords. Mais dans la sphère des pro-migrants des justifications « culturelles » abondent.
Ces jeunes mâles sont bien chaussés, bien habillés ils gardent leurs mains dans leur poches pour les protéger du froid, ils ont même mis des sacs poubelle sur leur tête pour s’abriter de la neige mais leur cœur de machos reste un glaçon.
Ne pas venir en aide à une mère en peine, mais c’est la coutume chez ces gens-là, Mesdames et Messieurs. Il faut les comprendre …Et si vous ne comprenez pas c’est que vous êtes d’extrême droite, lepéniste, facho, raciste, néo-colonialiste et xénophobe. Voilà aujourd’hui ce que les gens « politiquement corrects » pensent de ceux qui ne compatissent pas à leur manière. Un exemple de plus, s’il en fallait, du détournement des valeurs humaines.
Je ne peux pas passer en revue tous les pays dont proviennent ces migrants qui persécutent les femmes, des crimes que les généreux bénévoles ignorants justifient au nom du respect de leur culture. Tous ces hommes sont des tortionnaires qui ne se remettront jamais en question car leur religion les manipule –Islam signifie soumission. Le pire est qu’ils n’ont aucune raison de ne pas traiter les femmes des pays d’accueil de la même façon. Pire que pire encore, ils servent de caution à nos mâles en lesquels sommeille un cochon dominateur et misogyne. La condition des femmes occidentales ne régresse-t-elle pas à vue d’œil ?
Dans un rapport de l’UNICEF publié en février 2016, on apprend que 83% des Erythréennes sont excisées alors que le pays a officiellement aboli les mutilations sexuelles en 2007 mais rétabli la polygamie en même temps.
Filles astreintes au service militaire pour servir d’esclaves sexuelles. Jeunes gens et jeunes filles sont contraints de faire leur service militaire au camp de Sawa où les conditions seraient tellement épouvantables que ceux qui le peuvent fuient le pays tandis que les jeunes filles se marient ou tombent enceintes afin d’éviter de devenir des esclaves sexuelles.
Je suis de la RDC est je m’investis vivre en polygamie...Cette pratique va montrer aux deux futures epouses de bien aimer leur mari et a obeir l’aine.moi je veux que l’on dise l’avenir de l’Erythree est beau et qu’il attend de son peuple sa reconstruction.
Martyr des femmes en Afghanistan
Femme lapidée à mort soupçonnée d’ adultère. https://www.youtube.com/watch?v=M-jmGip4xI0
Nigéria, Gambie et Sénégal
Pour beaucoup, les abus et les violences ont déjà commencé en route, en particulier en Libye, mais la reconnaissance se mêle encore à la peur vis-à-vis des passeurs qui, malgré tout, ont tenu leur promesse de les conduire en Europe.- 20 à 50.000 euros à rembourser -…De plus, toutes les victimes sont liées par des rites vaudous parfois cruels réalisés avant le départ et redoutent un mauvais sort ou des représailles contre leur famille si elles ne remboursent pas leur dette.Aussi la plupart gardent-elles le silence pour suivre le flot vers un centre d’accueil où les trafiquants viendront les chercher... http://www.slateafrique.com/699506/litalie-voit-arriver-des-nigerianes-destinees-
Des dizaines, voire des centaines de pétitions en faveur des droits des femmes circulent sur les sites de pétition en ligne.
Les sujets sont majoritairement contre le viol, les mariages forcés et les crimes d’honneur. Le sujet de ces pétitions et les textes qui les accompagnent donne une idée des horreurs que subissent les femmes pour la seule raison d’être femmes;
Celui qui m’a le plus étonnée c’est le gavage en Mauritanie des fillettes à partir de 5 ans afin de les rendre séduisantes pour le mariage. ex. une fillette obligée de boire 20 l de lait de chamelle/jour + deux kg de millet avec deux tasses de beurre. A ce gavage s’ajoute le gavage d’hormones et de stéroïdes pour accélérer leur puberté. A 8 ans, une fillette peut peser 140 kg. La pratique du gavage est en recrudescence et l’utilisation des hormones est relativement récente.
L’avantage d’un fillette obèse pour ces monstres est qu’elle ressemble à une femme mais que son âge réel laisse supposer qu’elle est vierge..
les terroristes musulmans ne sont pas de vrais musulmans
Les Palestiniens et les Français qui ont poussé des cris de joie à l’annonce du massacre de Charlie Hebdo, de l’Hypercacher et de la policière de Montrouge ne sont pas de vrais musulmans
Les hordes de manifestants des pays musulmans qui appellent au meurtre, à la vengeance et éructent leur haine ne sont pas de vrais musulmans
Les hordes qui brûlent notre drapeau et demandent qu’on finisse le travail commencé par Hitler, ces millions de musulmans ne sont pas de vrais musulmans.
Les jeunes Musulmans qui n’ont pas respecté la minute de silence en hommage aux 17 morts assassinés par Coulibaly et les Kouachi, ce ne sont pas de vrais musulmans
Coulibaly et les frères Kouachi n’étaient pas de vrais musulmans
Les Mérah et Nemmouche ne sont pas de vrais musulmans
Les Musulmans qui affirment que les lois d’Allah sont supérieures à celles de la République ne sont pas de vrais musulmans
Les Musulmans qui manifestaient devant l’ambassade US en criant « mort aux juifs » ne sont pas de vrais musulmans
Boko Haram qui tue des milliers de chrétiens, qui enlève et viole des milliers de jeunes filles, ce ne sont pas de vrais musulmans
Les Tchétchènes qui ont séquestré et assassiné les paisibles spectateurs d’un théâtre de Moscou en 2002, ce ne sont pas de vrais musulmans
Les Turcs qui assassinent des femmes au nom de l’honneur ne sont pas de vrais musulmans
Tous les musulmans qui commettent des crimes d’honneur ne sont pas de vrais musulmans
Les musulmans qui marient leur fille ou soeur de force ne sont pas de vrais musulmans
Les musulmans qui obligent leur épouse à porter le voile et la séquestrent ne sont pas de vrais musulmans
Les Yéménites qui enlèvent des jeunes filles et les violent pour faire baisser leur dot ne sont pas de vrais musulmans
Les Français qui font brûler des voitures, qui saccagent les banlieues, trafiquent armes et drogues, violent des jeunes filles et caillassent forces de l’ordre, pompiers et médecins ne sont pas de vrais musulmans
Les Français qui partent faire le djihad en Syrie et en Irak ne sont pas de vrais musulmans
Les imams qui appellent au djihad et prêchent la haine ne sont pas de vrais musulmans
L’Etat islamique qui appelle à tuer les Américains et les Français par tous les moyens, ce ne sont pas de vrais musulmans.
Les Musulmans qui partout dans le monde persécutent chrétiens et juifs ne sont pas de vrais musulmans
Eglise incendiée au Niger pendant les émeutes anti Charlie par de « pas vrais » musulmans. Source
L’Arabie saoudite, le Qatar et les émirats du Golfe ne sont pas de vrais musulmans car ils sont corrompus par les Américains
Les musulmans qui sont sur représentés dans nos prisons pour crimes et délits ne sont pas de vrais musulmans et s’ils sont de vrais musulmans c’est qu’ils sont victimes de l’islamophobie des juges.
Pour les Sunnites, les Chiites ne sont pas de vrais musulmans et vice versa
Pour échapper aux mariages forcés, des organisations de défense des droits des femmes conseillent aux jeunes filles embarquées en avion pour être mariées au pays de dissimuler une petite cuillère -ou autre objet métallique- dans leur culotte pour être interpellées au contrôle des aéroports. Une fois que le portique de sécurité a sonné, les très jeunes filles sont séparées de leur famille pour être fouillées à corps. Là, en tête à tête avec l’officière de sécurité, elles peuvent confier leur crainte et appeler une association spécifique qui les prendra en charge.
Cela se passe au Royaume-Uni où les familles originaires d’une soixantaine de pays dont l’Afghanistan, le Pakistan, l’Irak l’Inde choisissent des époux pour leurs filles entre 14 et 17 ans.
Cette révélation fait suite à un avertissement diffusé par le gouvernement britannique auprès des enseignants, des médecins et du personnel des aéroports afin de protéger les adolescentes des mariages forcés organisés dans leur pays d’origine au prétexte de séjours de vacances.
Karma Nirvana est une association de lutte contre les mariages forcés. Domiciliée à derby, elle reçoit environ 600 appels au secours par mois. Karma Nirvana a été fondée en 1993 par Jasvinder Sanghera, une jeune femme indienne que sa famille Sikh a rejetée après qu’elle eut refusé d’être mariée contre son gré à l’âge de 16 ans.
Certaines adolescentes préfèrent se suicider plutôt qu’être mariées contre leur gré et celles qui s’échappent sont menacées de crimes d’honneur.
Le département des mariages forcés du Foreign Office traite environ 1 500 cas par an. La moitié concerne le Pakistan, le Bangladesh compte pour 11%, l’Inde pour 8%. Les autres pays concernés sont l’Afghanistan, la Somalie et la Turquie. La plus jeune victime avait deux ans, la plus âgée 71 ans. La majorité des victimes, tous pays confondus est âgée de moins de 16 ans.
Sameem Ali, une conseillère municipale de Manchester fut mariée de force au Pakistan à l’âge de 13 ans et put être ramenée au Royaume-uni à 14 ans après être tombée enceinte. Elle a confié à la BBC « Une semaine avant la cérémonie , Je ne savais pas que j’allais être mariée de force. Je n’avais jamais rencontré mon fiancé, j’étais perdu au milieu de nulle part et j’ignorais où je me trouvais.
Une autre femme dont l’identité est protégée par la police de l’Essex a déclaré à l’AFP que son père l’avait obligée à se marier en Inde après l’avoir menacée de la poursuivre et de la tuer si elle tentait de s’enfuir. « Je fus livrée à un total étranger. Cette nuit-là je fus violée par mon mari et les viols durèrent huit ans et de mi de ma vie. « Elle réussit à s’enfuir au bout de ces années.
En France
70 000 femmes menacées de mariage forcé
Dans un rapport publié lundi 8 juillet, la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), un organisme indépendant qui joue un rôle de conseil auprès du gouvernement français, émet 15 recommandations pour améliorer les droits des femmes étrangères en France, notamment contre les mariages forcés et les répudiations. Elle préconise entre autres de « tenter de renégocier » les conventions avec plusieurs pays étrangers.
« Le droit français ne parvient pas aujourd’hui de facto à garantir aux femmes étrangères le droit à l’égalité entre les hommes et les femmes. Tout simplement parce que les femmes, peu au fait de leurs droits, ne saisissent pas les juridictions pour les faire reconnaître », écrit-t-elle.
70 000 FEMMES MENACÉES DE MARIAGE FORCÉ
La CNCDH recommande de « tenter de renégocier les conventions », notamment franco-algérienne et franco-marocaine, « pour qu’il ne soit plus possible d’aller à l’étranger quelques jours pour demander un divorce, une répudiation ou une annulation de mariage ».
Elle conseille de mettre en place des « actions préventives afin de détecter etrendre nuls les mariages forcés » et de « s’assurer que les auditions des futurs époux, devant les autorités consulaires, soient séparées » pour que la femme puisse s’exprimer librement.
Les mariages forcés concernent également de jeunes Françaises, mariées de force dans le pays d’origine de leurs parents, ou des binationales. Selon une estimation du Haut Conseil à l’intégration, 70 000 jeunes femmes en France seraient potentiellement menacées de mariage forcé.
UN PROJET DE LOI EN DISCUSSION
Un projet de loi, actuellement en discussion au Parlement, renforce les sanctions pénales existantes : une nouvelle disposition rend passible de 3 ans de prison et 45 000 euros d’amende le fait de tromper quelqu’un pour l’emmener à l’étrangersubir un mariage forcé.
Le même texte crée un délit d’incitation à l’excision, passible de 5 ans de prison et 75 000 euros d’amende si la jeune fille visée est mineure.
Hélène Conway-Mouret, ministre des Français de l’étranger, a indiqué que les consulats français sont amenés à traiter de 12 à 15 cas de mariage forcé par an en moyenne. Depuis le début de l’année, 10 cas (5 en Algérie, 3 au Sénégal, 1 auMaroc et 1 au Mali) ont été recensés. Source
Dans les démocraties occidentales, la loi interdit de se faire justice soi-même. En Islamie, les tribunaux islamiques punissent sévèrement les femmes qui ont porté atteinte à l’honneur de leur famille. La loi islamique, la charia légifèrent au nom d’Allah la punition des femmes qui ont désobéi aux hommes ou qui ont été souillées, violées, enlevées ou séquestrées par ces mêmes hommes. Victimes ou responsables d’avoir humilié leur famille, elles sont punies dans tous les cas par les coups de fouets, l’emprisonnement, la lapidation, la décapitation, et toutes les violences possibles.
Traditionnellement pratiqué et justifié dans les pays musulmans où les femmes ne sont pour les hommes qu’un moyen d’assouvir leur volonté de puissance, leur reproduction et leur volonté de les réduire à l’esclavage domestique, le crime d’honneur accompagne l’islamisation de l’Europe et des démocraties occidentales.
Dans les pays non musulmans, les bons musulmans se rendent justice eux-mêmes en commettant des crimes en famille. Aucun pays démocratique ne met sérieusement à l’abri des crimes d’honneur les femmes qui en sont victimes. Allemagne, Italie, France, Royaume-Uni, Belgique, Suisse, Pays-bas, Norvège, Suède, Espagne et autres pays européens ont vu croître les crimes d’honneur avec la montée en puissance de l’impérialisme musulman. Islam is beautiful et après la charia, le déluge de coups.
Les 4 femmes assassinées au Canada par Mohamed Shafia, son fils et sa deuxième épouse avaient alerté la police à plusieurs reprises mais celle-ci n’avait pas jugé utile de les protéger. C’est toutefois Shafia seul qu’on juge en ce moment et non pas aussi la police dont la passivité rend possible d’autres crimes d’honneur. Aucun signal fort n’est donné à ces familles qui persécutent leur propre élément féminin.
Au sortir du tribunal, le père du criminel a osé dire que la sanction était trop lourde !
Le crime d’honneur reste toutefois un sujet tabou comme le constataient les personnes qui participaient à un colloque organisé en 2009 en Suisse. L’impuissance assumée des justices des pays occidentaux est consternante : Sur le plan légal, l’affaire n’est pas plus simple. « En matière d’asile, si une femme est menacée de crime d’honneur, elle peut être renvoyée chez elle faute de preuves », explique Fabienne Bugnon. « Le problème, c’est que lorsque la preuve est là, il est trop tard, ajoute Anne-Marie von Arx Vernon. Ou alors, on nous répond que le pays d’origine de la personne punit les crimes d’honneur. Mais, dans ces pays-là, les coutumes tribales prédominent sur les lois. » http://www.rue89.com/2009/04/05/le-crime-d-honneur-une-violence-taboue-jusquen-suisse
L’Union européenne frileuse pour défendre les femmes victimes de crimes d’honneur
Ce sujet qui ne concerne que les femmes -quelques très rares hommes sont victimes de crimes d’honneur- est soumis au diktat des hommes pour raisons » diplomatiques » au point qu’un sujet tourné sur Gulnaz, jeune afghane sauvée de la lapidation – condamnée à mort parce que souillée d’avoir été violée- mais obligée d’épouser son violeur, a été interdit de diffusion en Europe.
Dans le documentaire qu’a pu voir le New York Times, on suit trois jeunes femmes emprisonnées, dont Gulnaz. Initialement condamnée à trois ans de prison, puis lors d’un second procès, à douze années, elle a donné naissance à une fillette issue du viol. Un juge lui propose le marché : épouser son violeur.
La cinéaste raconte également l’histoire d’une adolescente de 14 ans qui aurait été kidnappée et se serait enfuie pour retrouver sa famille.
Selon le New York Times qui a obtenu des e-mails provenant de l’Union européenne, des considérations politiques expliquent peut-être la décision européenne de ne pas diffuser le film.
Les violences spécifiques contre les femmes ne soulèvent pas la même indignation que les violences politiques ou racistes, par exemple. Les femmes restent des sous-hommes qui ne semblent pas mériter qu’on abolisse les violences qui ne s’adressent qu’à elles. Coutumes, traditions, honneur, contrôle de la descendance, fabrication de chair à canon, marchandise et monnaie d’échange, arme de guerre, moyen de pression sur l’ennemi, sur les salaires, sur les familles, les femmes ne sont jamais qu’un moyen pour les hommes d’arriver à leurs fins.
Chaque année dans le monde, environ 5000 jeunes femmes sont tuées par des proches au nom de «l’honneur de la famille». Depuis 2002, le Canada est frappé de plein fouet par le phénomène. On estime que 12 Canadiennes ont péri dans des crimes d’honneur allégués. À Montréal, des dizaines de jeunes femmes vivent dans la peur de leur famille et peinent à trouver de l’aide.
Amandeep Atwal, 17 ans, poignardée à mort en 2003 à Kitimat, en Colombie-Britannique. Khatera Sadiqi, 20 ans, fusillée en septembre 2006 à Ottawa. Aqsa Parvez, 16 ans, et Amandeep Kaur Dhillon, 22 ans, étranglée et poignardée à Mississauga, en Ontario, en décembre 2007 et janvier 2009.
Ces quatre jeunes femmes ont une chose en commun. Des membres de leur famille immédiate, accusés de les avoir tuées, sont aujourd’hui derrière les barreaux.
Le père d’Amandeep Atwal, Rajinder Singh Atwal, sert une peine de 16 ans de prison. Kamikar Singh Dhillon a écopé de 25 ans pour le meurtre de sa belle-fille, Amandeep Khaur Dhillon. Le père et le frère d’Aqsa Parvez, Muhammad et Waqas Parvez, ont été condamnés à 18 ans de prison ferme. Le frère de Khatera Sadiqi, Hasibullah, a été condamné à la prison à vie.
Les quatre assassinats ont aussi un autre élément de ressemblance: c’est au nom de «l’honneur de la famille» que les meurtriers se sont exécutés. En cour, Kamikar Singh Dhillon a expliqué qu’il n’avait «pas eu le choix» d’assassiner sa belle-fille qui, selon lui, allait causer la «disgrâce imminente de sa famille». Sans aucune preuve à l’appui, il l’accusait d’avoir une relation extraconjugale.
Professeure à l’Université de Toronto, Shahrzad Mojab a été appelée à témoigner dans les deux plus récents de ces cas. À titre de témoin expert, Mme Mojab a dû faire un exposé sur les crimes d’honneur, phénomène qui coûte la vie à 5000 jeunes femmes partout dans le monde chaque année, selon les statistiques de l’ONU. Le Moyen-Orient et le sous-continent indien sont les plus fortement touchés. On recense des cas autant au sein des familles sikhes, hindoues, chrétiennes que musulmanes.
Le crime d’honneur, a-t-elle expliqué aux juges, est une forme particulière de violence masculine contre les femmes, et est la plupart du temps perpétré par les pères, frères, oncles et autres parents d’une femme lorsqu’ils perçoivent que cette dernière a désobéi aux normes culturelles jugées acceptables par la famille.
Les motifs du crime diffèrent largement: on peut reprocher à la jeune femme le choix d’un amoureux jugé «inapproprié», le refus de porter le voile, une sortie au cinéma ou un mode de vie trop «occidentalisé». «Ça se différencie de la violence domestique, parce que ce n’est pas seulement une question de violence d’un partenaire contre l’autre. Dans le cas des crimes d’honneur, la famille étendue est impliquée.» Le meurtre se prépare souvent par consensus familial.http://www.cyberpresse.ca/actualites/201103/06/01-4376665-lhorreur-pour-sauver-lhonneur.php
L’étude réa&lisée par IKWRO, une organisation féministe qui défend le droit des femmes http://ikwro.org.uk/2011/12/03/nearly-3000-cases-of-honour-violence-every-year-in-the-uk/, a eu accès aux archives de la police pour identifier les crimes d’honneur ou plus exactement ce qu’elle qualifie de violences contre les femmes pour défendre l’honneur. En effet, les 3 000 victimes n’en sont pas toutes mortes mais, comme Chahrazad brulée vive pour avoir refusé les avances d’un musulman, certaines sont mutilées et handicapées à vie physiquement quand toutes sont traumatisées psychologiquement à vie et beaucoup vivent dans la terreur.
Les mariages forcés sont contraires au droit français, tout comme ils sont contraires à la plupart des législations des autres pays du monde.
Mineures
Jeunes majeures
Majeures de plus de 21 ans
Depuis la loi du 4 avril 2006, en France, le mariage est interdit en dessous de 18 ans, qu’il s’agisse d’une femme ou d’un homme.Cependant, cette nouvelle loi ne règle pas le problème des mariages coutumiers, traditionnels et/ou religieux, qui légitime les rapports sexuels.
Mineures de moins de 15 ans :
Concernant les mariages coutumiers, religieux ou traditionnels, impliquant des rapports sexuels, la loi est intraitable. Les mineures de moins de 15 ans ne sont pas considérées comme aptes à consentir à l’acte sexuel.
La protection des mineures de moins de 15 ans risquant d’être mariées de force ou l’ayant été, s’articule donc autour de cette interdiction. Ainsi, dans le cas d’un mariage forcé effectif, le crime de viol commis sur un mineur de moins de 15 ans fait encourir à son auteur une réclusion criminelle d’une durée de 20 ans, ainsi que des peines de prison pour ses complices
Les mineures de moins de 15 ans risquant d’être mariées ou l’ayant déjà été doivent bénéficier d’une protection absolue. Il est donc du devoir de chacun de signaler et d’agir en fonction du risque de crime de viol.Cette protection passe par l’envoi d’une information préoccupante à la CRIP (Cellule de Recueil des Informations Préoccupantes, au sein des Conseils Généraux) et/ou d’un signalement au Procureur de la République.
Mineures de plus de 15 ans:
Sur le plan sexuel, la loi considère qu’une mineure de plus de 15 ans est en mesure de consentir. Il faut donc caractériser la situation de contrainte pour engager des mesures de protection de l’enfance (jusqu’à 18 ans) et/ou des poursuites pénales. La situation de contrainte au mariage permet d’amener la notion de viol et donc d’engager les mesures de protections adaptées.Cette protection passe donc aussi par un signalement au Procureur de la République, ou une information préoccupante à la CRIP.
Quelque soit l’âge des mineures, il existe un délit de soustraction sans violence par ascendant, aggravé en cas de déplacement à l’étranger. De même, il existe un délit d’enlèvement sans violence par un tiers. C’est le cas lorsque la future belle-famille enlève l’enfant pour la conduire au pays. Si le Juge en est informé au moment où la jeune fille va quitter le territoire français, il peut agir en urgence. Ces infractions correspondent à l’ancienne qualification de détournement de mineur.http://www.federationgams.org/legislation_mf.php
Pendant le mois du ramadan, on est censé se rapprocher l’Allah en jeûnant du lever au coucher du soleil et en s’abstenant de rapports sexuels. Le ramadan rend-il les musulmans meilleurs ? A en juger par quelques faits divers, on peut en douter…..
Exemple de civisme. Il écrase un enfant et tente de s’enfuir en Algérie. Le pauvre homme était sans papiers. Sa liberté vaut-elle plus que la vie d’un enfant ?
Le crime s’est déroulé en avril 2007 dans le Kurdistan région au Nord de l’Irak où les crimes d’honneur seraient particulièreent fréquents selon le DailyMail