Archives de Tag: insertion dans pays d’accueil

Islamisation. Prison pour Charles de Gaulle

propos rapportés par Philippe De Gaulle dans “De Gaulle mon père”. Plon 2003, tome 1 page 433

Autres citations

*”C’est très bien qu’il y ait des Français jaunes, des Français noirs, des Français bruns. ils montrent que la France est ouverte à toutes les races et qu’elle a une vocation universelle. Mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.

Qu’on ne se raconte pas d’histoires! Les musulmans, vous êtes allé les voir? Vous les avez regardés, avec leurs turbans et leurs djellabas? Vous voyez bien que ce ne sont pas des Français! Ceux qui prônent l’intégration ont une cervelle de colibri même si ils sont très savants. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont des Arabes, les Français sont des Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront vingt millions et après-demain quarante?

Si nous faisions l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux Mosquées!” Charles De Gaulle

Propos rapportés par Alain Peyrefitte dans “C’était de Gaulle” éditions de Fallois (Fayard) 1994, tome 1 page 52

 

 

*”Nous avons fondé notre colonisation, depuis les débuts, sur le principe de l’assimilation. On a prétendu faire des nègres de bons Français. On leur a fait réciter : Nos ancêtres les Gaulois ; ce n’était pas très malin” Charles De Gaulle

propos rapportés par Alain Peyrefitte dans “C’était De Gaulle” éditions de Fallois (Fayard) 1994, tome 1 page 54

 

 

*”C’est beau, l’égalité mais ce n’est pas à notre portée. Vouloir que toutes les populations d’outre-mer jouissent des mêmes droits sociaux que les métropolitains, d’un niveau de vie égal, ça voudrait dire que le nôtre serait abaissé de moitié. Qui y est prêt? Alors, puisque nous ne pouvons pas leur offrir l’égalité, il vaut mieux leur donner la liberté! Bye bye, vous nous coûtez trop cher!” Charles De Gaulle

propos rapportés par Alain Peyrefitte dans “C’était De Gaulle” éditions de Fallois (Fayard) 1994, tome 1, page 55

 

 

*”On peut intégrer des individus; et encore dans une certaine mesure seulement. On n’intègre pas des peuples, avec leur passé, leurs traditions, leurs souvenirs communs de batailles gagnées ou perdues, leurs héros. Vous croyez qu’entre les pieds-noirs et les Arabes, ce sera jamais le cas? Vous croyez qu’ils ont le sentiment d’une patrie commune, capable de surmonter toutes les divisions de races, de classes, de religions? Vous croyez qu’ils ont vraiment la volonté de vivre ensemble?

L’intégration c’est une entourloupe pour permettre que les musulmans, qui sont majoritaires en Algérie à dix contre un, se retrouvent minoritaires dans la République française à un contre cinq. C’est un tour de passe-passe puéril! On s’imagine qu’on pourra prendre les Algériens avec cet attrape-couillons?

Avez-vous songé que les Arabes se multiplieront par cinq puis par dix, pendant que la population française restera presque stationnaire? Il y aurait deux cents, puis quatre cents députés arabes à Paris? Vous voyez un président arabe à l’Elysée?” Charles De Gaulle

propos rapportés par Alain Peyrefitte dans “C’était De Gaulle” éditions de Fallois (Fayard) 1994, tome 1 page 56

 

 

*”De Gaulle ne souhaite pas la solution de l’Algérie française qui ferait des autochtones des Français à part entière. Etant donné les lois d’aide à la famille et le taux élevé de fécondité des Algériens, ils dépasseraient rapidement la population métropolitaine, ce qui ne les empêcheraient pas de nous cracher à la face une fois leur développement acquis” Amiral François Flohic (ancien aide de camp du Général De Gaulle) dans “Souvenirs d’Outre-Gaulle” Plon 1979, page 44

QUELQUES EXTRAITS DES CITATIONS DE DE GAULLE
(Recueilli par Sivéra)

De Gaulle politiquement incorrect.
Rivarol 7 juillet 2006

Sunday 16 July 2006 : Pour fêter dignement le 16e anniversaire de la loi FabiusGayssot-Rocard adoptée le 13 juillet 1990, voici un petit florilège de citations de De Gaulle qui, si cette loi avait, existé à l’époque, auraient expédié le général-président devant la XVIIe Correctionnelle. « Les communistes russes sont des traîtres à la race blanche. Un jour, ils redeviendront solidaires de l’Europe. » (Cité par J .R. Tournoux, La Tragédie du Général, Plon, p 365).

Juin 1944 : De Gaulle n’est rejoint que par une troupe hétéroclite. «Encore un juif… », soupire-t-il, quand on lui annonce le ralliement de Georges Boris, ancien secrétaire de Loewenstein et ex-directeur de la Lumière, conseiller financier (cité par J.-R. Tournoux, Pétain et De Gaulle. Plon 1964).

« Je n’aime pas les youpins. »(Cité par André Le Troquer, La parole à Le Troquer, La Table Ronde 1962).

Au député UNR Raymond Dronne, ancien héros de la libération de Paris et favorable à l’Algérie française: « Voulez-vous être bougnoulisés ? Voyons, Dronne! Donneriez-vous votre fille à marier à un b@#*+*#@» (Cité dans Le petit De Gaulle illustré. Ed. Le Crapouillot, 1967, et par J .R. Tournoux, La Tragédie du Général, op. cit.).

A un autre député UNR, Léon Delbecque, également partisan de l’Algérie française:
«
Et puis, Delbecque, vous nous voyez mélangés à des Musulmans? Ce sont des gens différents de nous. Vous nous voyez mariant nos filles avec des Arabes?» (La Tragédie du Général, op. cit.)

Au général Koenig: «Evidemment, lorsque la monarchie ou l’empire réunissait à la France l’Alsace, la Lorraine, la Franche-Comté, le Roussillon, la Savoie, le pays de Gex ou le Comté de Nice, on restait entre Blancs, entre Européens, entre chrétiens … Si vous allez dans un douar, vous rencontrerez tout juste un ancien sergent de tirailleurs, parlant mal le français (…) Tous ces bicots se chamaillent. Ils aiment les fusils, ils aiment s’en servir. Ils ont la manie de la fantasia » (La Tragédie du Général, op. cit.).

« Au soir des accords d’Evian, en mars 1962 : Alors. Joxe, vous avez bientôt fini avec vos bicots? » (Cité dans Le Petit De Gaulle illustré, op.cit.)

« Les Arabes, ce n’est rien. Jamais on n’a vu des Arabes construire des routes, des barrages, des usines»« Ce sont d’habiles politiques. Ils sont habiles comme des mendiant » (La Tragédie du Général, op. cit.)

« Qu’est-ce que les Arabes ? Les Arabes sont un peuple qui, depuis les jours de Mahomet, n’ont jamais réussi à constituer un Etat … Avez-vous vu une digue construite par les Arabes ? Nulle part. Cela n’existe pas. Les Arabes disent qu’ils ont inventé l’algèbre et construit d’énormes mosquées. Mais ce fut entièrement l’œuvre des esclaves chrétiens qu’ils avaient capturés … Ce ne furent pas les Arabes eux-mêmes … Ils ne peuvent rien faire seuls» (cité par Cyrus Sulzberger, ancien directeur du New York Times, dans Les Derniers des géants, Ed.Albin Michel, 1972).

« Des Français, ces gens-là! Avec leurs turbans et leurs djellabas!» (Cité par A. Peyrefitte. C’était De Gaulle. EdGallimard, 2000)

« Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Si nous faisons l’intégration, si tous les Arabes et Berbères d’Algérie étaient considérés comme Français, comment les empêcherait-on de venir s’installer en métropole, alors que le niveau de vie y est tellement plus élevé ? Mon village ne s’appellerait plus Colombey-les-Deux-Eglises, mais Colombey-les-Deux-Mosquées!»(Cité par Benjamin Stora, Le Transfert d’une mémoire, Ed. La découverte, 1999).

« Vous savez cela suffit comme cela avec vos nègres. Vous me gagnez à la main, alors on ne voit plus qu’eux: il y a des nègres à l’Elysée, tous les jours, vous me les faites recevoir, vous me les faites inviter à déjeuner. Je suis entouré de nègres, ici. … Et puis tout cela n’a aucune espèce d’intérêt ! Foutez-moi la paix avec vos nègres ; je ne veux plus en voir d’ici deux mois, vous m’entendez ? Plus une audience avant deux mois. Ce n’est pas tellement en raison du temps que, cela me prend, bien que ce soit déjà fort ennuyeux, mais cela fait très mauvais effet à l’extérieur: on ne voit que dès nègres, tous les jours, à l’Elysée. Et puis je vous assure que c’est sans intérêt» (Entretien avec Jacques Foccart, 8 novembre 1968 ; cité dans ses Mémoires, tome 2 : Le Général en mai. Journal de l’Élysée. 1968-1969, éd. Fayard/Jeune Afrique).

« Si une communauté n’est pas acceptée, c’est qu’elle ne donne pas de bons produits, sinon elle est admise sans problème. Si elle se plaint de racisme à son égard, c’est parce qu’elle est porteuse de désordre. Quand elle ne fournit que du bien, tout le monde lui ouvre les bras. Mais il ne faut pas qu’elle vienne chez nous imposer ses mœurs» (dans De Gaulle, mon père, par Philippe De Gaulle, éd., Plon).

«Le régime fasciste permet aux pouvoirs publics de tirer des ressources existantes, sans ressource ni ménagement, tout ce qu’elles peuvent donner. L’impérieuse subordination des intérêts particuliers à ceux de l’Etat, la discipline exigée et obtenue de tous, la coordination personnelle du Duce, enfin cette sorte d’exaltation latente entretenue dans le peuple par le fascisme pour tout ce qui concerne la Patrie, favorisent à l’extrême les mesures de Défense Nationale. » (Charles De Gaulle, La Mobilisation économique à l’étranger, Revue militaire française, 1er janvier 1934).

—==oOo==—

Quand on pense que, pour beaucoup moins que cela, on débaptise écoles ou rues dédiées à de méchants “racistes”, la LICRA, le MRAP et SOS-Racisme ne devraient-ils pas unir leurs forces et leur voix pour obtenir que la place de l’Etoile et l’aéroport de Roissy et autres (multiples) lieux prestigieux ne portent plus le nom de l’infâme antisémite, discriminateur et xénophobe que fut De Gaulle ?

Rivarol 7 juillet 2006