Le macho et sa collabo : Yves Calvi et Marcella Iacub

Publié le

Nouveau au 27 février

Je reconnais que comme beaucoup, l’indignation a recouvert chez moi le dégoût et la répugnance que j’éprouvais pour DSK. A se demander si ce n’était pas l’objectif de la Iacub, amoureuse dingue de son cochon. Parce que je ne suis pas la seule à penser qu’on ne s’acharne pas sur un homme à terre et qu’accabler l’ex présidentiable est trop facile pour être excitant. DSK est définitivement fichu dans sa vie personnelle comme dans sa vie professionnelle et dans ses ambitions politiques. Il a été largement puni par là où il a pêché et ce n’est que justice. Pas la peine d’en rajouter, à ce niveau, la pitié s’impose et le silence aussi.

Extraits : Marcela Iacub est une prétendue féministe, qui explique que l’égalité entre les hommes et les femmes n’existera que quand ces dernières ne seront plus obligées d’enfanter. Elle délire donc sur des grossesses extra-utérines, avec bien sur des donneurs de sperme anonymes, qui émanciperont les femmes de leur rôle de pondeuse, et briseront à jamais une famille bourgeoise bien trop conformiste et oppressante à ses yeux, avec un papa, une maman et des enfants….Nous autres, gens du peuple, sans doute victimes de notre éducation traditonnelle, voire, horreur, un peu chrétienne, nous avons tendance à trouver le comportement de Iacub pour le moins putassier, sans éprouver pour autant la moindre compassion pour Strauss-Kahn, et pas davantage pour Anne Sinclair, qui se rêvait présidente. Mais le propos n’est pas là. A cause de ces deux caricatures, les journaleux de la presse bien comme il faut s’étripent, et c’est cela qui vaut le coup…Le baston commençait à être intéressant, mais inégal. A ma gauche, Le Nouvel Observateur et Libération, à ma droite, seulement Le Monde. Il fallait donc équilibrer le combat, et que Marianne rentre dans la bataille. Ce fut chose faite quand Maurice Szafran a apporté sa contribution. Il a fait fort, Maurice. Il a encensé ses camarades du Nouvel Observateur et de Libération, pour mieux dire que Marcela Iacub était une pute et qu’il n’aurait jamais accepté que Marianne publie de telles saloperies, au nom de la déontologie journalistique….Mais rassurez-vous, à part les affaires de cul DSK-Iacub, ils sont d’accord sur tout, Le Nouvel Obs, Marianne, Le Monde, Libé : taper sur les salauds qui osent contester le mariage homo, insulter les fachos qui sont contre le droit de vote des étrangers, traîner dans la boue les nationalistes qui sont contre la grande Europe fédérale, lyncher les râââcistes qui osent amalgamer islam, insécurité et immigration. Et surtout dissimuler l’ampleur de la crise que subissent les peuples, pendant qu’eux et leurs copains écolo-socialo vivent bien sur la bête. Bref, des employés de banque (leurs patrons) déguisés en journalistes, au service de la mondialisation libérale…

  • Lire aussi le billet de Philippe Randa qui fustige les « médiacrates » dont fait partie Iacub

     On achève bien les truies

    Chronique hebdomadaire de Philippe Randa

     À force d’être capable de tout, les médiacrates(1) finiront-ils par rendre sympathique Dominique Strauss-Kahn ? Impossible ? Voire… Lorsqu’ils avaient affaire à l’ex-patron du FMI, ex-prétendant à la Fonction Suprême et ex-mari de la richissime Anne Sinclair, combien d’entre eux ont-ils jamais osé une ligne ou une parole désagréable à son encontre ? C’est un euphémisme de dire « bien peu »…(2)

    Aujourd’hui, pas un média auto-proclamé d’informations n’est en reste pour brocarder ses frasques sexuelles, réelles ou fantasmées, quelle que soit l’heure d’écoute…

    L’énième péripétie judiciaire de DSK, cette fois en tant que victime d’atteinte à sa vie privée, prouve à nouveau l’abjection de certains médiacrates. Non pas pour les révélations scabreuses – fictives pour la plupart – contenues dans le livre Belle et Bête, mais pour la personnalité de son auteur, Marcela Iacub, soit une « juriste », « principalement connue pour sa défense d’idées à contre-courant du féminisme dans ses expressions socialement majoritaires », tel que présentée par le Who’s who le plus lu à notre époque, soit l’encyclopédie sur internetWikipédia.

    On ne savait pas qu’une liaison avec un obsédé sexuel soit « socialement majoritaire » chez les représentantes d’un sexe qu’on imagine bien peu faible en l’occurence… surtout quand l’obsédé en question, dixit Marcela Iacub, n’a qu’un très lointain rapport avec le Casanova historique de Venise, mais bien davantage avec le personnage d’Edmond le cochon.(3)

    Un tel livre promis aux latrines de l’édition n’aurait sans doute pas bénéficié d’un tel battage médiatique s’il n’avait été annoncé en Une du Nouvel Observateur, l’hebdomadaire de prédilection de la gauche dite intellectuelle… ce qui ne peux surprendre que ceux qui ignorent qu’« en 1985, pour renflouer les caisses du Nouvel Observateur en difficulté, Claude Perdriel (lança) le 3615 JANE et ALINE, deux services de “messageries roses”. »(4)

    Rien d’étonnant donc à ce que ce fleuron de la presse progressiste assure à Marcela Iacub une telle promotion… et pour ne pas être en reste avec celle du quotidien Libération auquel elle collabore régulièrement…

    A ce sujet, toutefois, la Société civile des personnels de Libération (SCPL) a publié un texte de réprobation suite à la publication de plusieurs pages « Événement » consacrées au livreBelle et bête qui « dérogeait à la règle déontologique longtemps en usage à Libération, selon laquelle on réserve un traitement minimal aux ouvrages de (ses) collaborateurs. »

    Comme quoi, même chez les gauchistes salariés d’Édouard de Rotschild, certaines pratiques soulèvent le cœur et font déborder le pot de chambre du copinage promotionnel.

    On sait ce matin que les avocats de DSK ont obtenu ce qu’ils espéraient… Outre 50 000 euros de l’auteur et de l’éditeur – ce qui n’est pas chère la publicité faite au lancement du livre – il y a l’obligation, bien plus grave, de faire figurer un « encart » sur la moitié de la une du Nouvel Obs, qui en avait publié les bonnes feuilles – humiliation dont l’hebdomadaire n’a guère l’habitude – et surtout dans chaque exemplaire du livre controversé, alors qu’à « l’audience mardi matin, l’avocat des éditions Stock Me Christophe Bigot avait prévenu qu’il était “matériellement impossible” d’insérer un encart dans les 40 000 premiers exemplaires déjà mis en place dans les librairies. »(5)

    La note risque donc d’être conséquente pour l’éditeur.

    Après l’admiration (pour certains), la fascination (pour quelques-uns), le dégoût (pour la plupart), Dominique Strauss-Kahn est-il en passe de susciter la pitié (pour beaucoup) face à l’acharnement démentiel que certains déploient à son encontre ? Acharnement qui n’a plus rien de politique, encore moins de moral, mais répondant uniquement à des motivations « sonnantes et trébuchantes ».

    En exploitant sur la place publique sa coucherie avec DSK, Marcela Iacub aura en tout cas prouvé que si tous les hommes ne sont pas des gentlemen, ce qu’on savait, toutes les femmes ne sont pas non plus des « gentlewomen », ce que beaucoup découvrent sans doute avec stupéfaction. Seul(e)s les inconditionnel(le)s de la parité apprécieront. Peut-être…

    Notes

    (1) « Le terme médiacratie est une expression récente utilisée pour décrire un régime politique ou une organisation de la société où le pouvoir serait détenu par les médias(télévision, radio, presse écrite, Internet…) » (www.toupie.org).

    (2) En dehors des journaux d’opinions hostiles à l’étiquette politique de DSK qui ne pourfendaient l’intéressé, comme il se devait, que par rapport à son action publique, citons, puisqu’il le mérite bien, Jean Quatremer, correspondant de Libération à Bruxelles qui « le premier, en 2007, écrivit sur son blog, le tout premier chapitre du roman vrai de la vie de l’ancien patron du FMI. Au nom d’une transparence revendiquée, Jean Quatremer s’est battu pour que tombe l’omerta, ce tabou qui voit la presse française protéger la vie privée d’une classe politique prompte à l’instrumentaliser quand le besoin s’en ressent. Sexe, mensonges et médias (Éditions Plon), se veut ainsi un regard critique sur les réflexes d’une classe journalistique qui aura protégé DSK comme un seul homme, quand il était au pinacle. Avant de le broyer une fois sur le banc des accusés, de New York à Lille » (http://blogs.lexpress.fr).

    (3) « Bande dessinée animalière humoristique, créée en 1978 par Jean-Marc Rochette et scénarisée dès 1979 par Martin Veyron. Roi de la loose, Edmond est avant tout terrifié par l’idée de finir en saucisson. Et ce ne serait que justice pour cet animal pervers, vénal, profondément lâche, jaloux, lubrique et on en passe… Farce d’une puissance humoristique exceptionnelle, cet avatar français du Fritz the cat de Crumb est un monument de contre-culture trash et décadente » (http://fr.wikipedia.org).

     (4) http://www.lanouvellerepublique.fr.

    (5) www.franceinfo.fr.

    © Philippe Randa est écrivain, chroniqueur politique et éditeur (www.francephi.com). Ses chroniques sont libres de reproduction à la seule condition que soit indiquée leurs origines, c’est-à-dire le site www.francephi.com, « Espace Philippe Randa ».

  • Sorti hier, le torchon de Iacub se vend bien. Les acheteurs croient-ils en apprendre de meilleures que dans le Kama-soutra ? Personnellement, je le feuilletterais volontiers sur un étal de librairie pour conforter mon opinion sur le style inné-branlable de Marcella, histoire de juger sur pièces car je déteste médire ou encenser à tort.

Nouveau au 21 février 2013

Marcella fait encore parler d’elle à l’occasion de la sortie du récit de sa liaison avec DSK http://tempsreel.nouvelobs.com/l-affaire-dsk/20130221.OBS9635/le-texte-de-marcela-iacub-sur-dsk-est-un-tres-grand-livre.html

Pourquoi l’Obs a-t-il choisi de faire sa Une et de consacrer un dossier de 8 pages à ce livre ? « Quand les éditions Stock ont proposé à Jérôme Garcin ce texte de Marcela Iacub, on a découvert un grand livre, répond Eric Aeschimann. C’est une histoire qui aurait pu être légère, vulgaire, mais pas du tout. C’est un très grand livre, c’est un récit intimiste et une expérience intellectuelle. »

« En montrant qu’il y a en Dominique Strauss-Kahn, et en somme en nous tous, une part de cochon, Marcela Iacub s’inscrit dans une tradition littéraire de métaphore animalière, ajoute Eric Aeschimann, qui va de Kafka, avec « la Métamorphose », à « Truisme » de Marie Darrieussecq, auquel on ne peut pas ne pas penser quand on lit ce livre. »

  • DSK et Anne Sinclair ont l’intention de la poursuivre en justice pour atteinte à leur vie privée.

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2013/02/21/01016-20130221ARTFIG00542-marcela-iacub-une-femme-perverse-pour-anne-sinclair.php

http://www.lexpress.fr/actualites/1/politique/livre-de-marcela-iacub-strauss-kahn-fait-part-de-son-degout_1223259.html

Elle est cohérente la Iacub, en août 2011, elle prenait la défense de son héros urbi et orbi et en Janvier 2012, elle commençait une relation avec lui sans être aucunement dégoûtée par les révélations sordides concernant ce personnage répugnant auquel la justice demandait des comptes.

Iacub révélerait dans sa prose encensée par le NouvelObs que DSK est un cochon poétique. Rien de nouveau sous le soleil puisqu’un vieux dicton français nous dit que « dans tout homme sommeille un cochon ».

J’éprouve plus de dégoût pour la Marcella qui trahit les femmes, ose taper sur les fémiistes et rationalise dans son jargon juridico-psy-anarco -pathologique sa propre perversion, que pour DSK qui n ‘est qu’un pauvre mâle au cerveau obstrué par son phallus. Heureusement pour nous, il n’a pas accédé à la présidence quoique son copain François ne soit pas mal du tout avec son harem. A ce propos, La Valérie fait penser à la Sinclair qui surveillait son étalon comme le lait sur le feu;-)

Je suis très agacée de lire un peu partout que Iacub serait féministe. Encore un prétexte pour dévaloriser la philosophie féministe en lui associant des femmes qui sont pires que les machos, qui ont complètement intégré leurs pratiques. Dans l’actuel retour de bâton contre le féminisme, les sexistes hommes et femmes sont ravis de renvoyer les femmes dans l’ombre en mettant en lumière quelques femelles qui sont prêtes à faire n’importe quoi pour se faire remarquer. Le féminisme ne se résume pas au libertinage, à la prostitution et à la GPA (gestation pour autrui, mères porteuses).

———————————————————————————————————————-

J’ai déjà exprimé ici mon opinion sur le macho cireur de pompes manipulateur Yves Calvi. Les émissions qu’il anime, « C’est dans l’air » ou « Mots croisés » se distinguent par l’omniprésence des mêmes interlocuteurs-qui-ne-fachent-pas, la connivence de Calvi avec ses favoris et l’absence de femmes.

Hier soir, pour évoquer l’affaire DSK, il avait invité Marcella Yacub, sa préférée qui avait droit à un traitement de faveur, c’est tout juste s’il ne la prenait pas par les épaules, et Caroline de Haas, porte-parole de « Osez le féminisme » et membre de base du PS.

http://www.pluzz.fr/mots-croises-2011-05-30-22h15.html

Marcella Yacub, je l’ai repérée depuis longtemps, elle sévit sur les plateaux chaque fois qu’un animateur cherche à ridiculiser les femmes et le féminisme. C’est la sociologue anti féministe de service, super libérale, la femme expert qui a du recul sur la question des femmes, celle qui pense que la liberté sexuelle est sans limite et qui soutient la liberté des prostituées à vendre leur corps et celle de leur clients à l’acheter. Marcella zozotte et bafouille avec son accent d’ailleurs, dérive pour afficher ses convictions misogynes, généralise et fait des amalgames maniant la confusion avec le plus grand art. Les machos applaudissent leur collabo préférée. Yves Calvi l’avait tellement à la bonne que je me disais qu’ils avaient passé beaucoup de temps ensemble et se retrouveraient après l’émission pour continuer à s’encourager mutuellement dans leur convictions idéologiques. (non, je ne fais pas d’insinuation d’ordre sexuel).

Hier, non seulement Calvi lui donnait la parole plus que nécessaire mais il lui accordait beaucoup plus de temps de parole qu’à Caroline de Haas qui avait le mérite de tirer parti de cette situation inégale en étant concise, factuelle et claire. En voilà une qu’on peut saluer pour sa performance quand tout est contre elle, le fond et la forme. Bravo, Caroline!

Calvi s’est montré très mauvais animateur, laissant Vincent Peillon déverser tout son amour pour DSK pendant des heures, lui permettre d’interrompre et de couper la parole sans vergogne aux autres interlocuteurs, posant des questions insidieuses dans le but évident de « coincer » Jean Quatremer et Caroline de Haas qu’il semblait n’avoir invités que dans ce but.

Calvi, Yacub et Peillon étaient tellement autoritaires et abusifs que le pauvre Eric Woerth apparaissait sympathique par contraste.

Yves Calvi est une honte pour le journalisme français, il ne creuse pas l’information, il la noie lorsqu’elle ne convient pas à sa ligne idéologique. Il fait semblant de poser des questions quand il se livre à des démonstrations. Il est à l’information ce que le brouillard est au soleil. Vivement qu’on le vire!

Je ne suis pas la seule à être indignée par les pratiques sexistes de Calvi : Regardez maintenant la composition d’un plateau d’émission française composé de journalistes. « C dans l’air » est un modèle du genre : jamais de femmes ou presque. Notre pays souffre d’une organisation sociale rétrograde et sclérosante.

C’est Marie-Joseph Bertini, philosophe et essayiste des médias, qui le dit dans une lumineuse interview http://www.lesnouvellesnews.fr/index.php/chroniques-articles-section/chroniques/1172-pasionaria-egerie-muse-mere-madone

Lire aussi un article complet sur le copinage et la nullité de C dans l’air http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/c-dans-l-air-a-du-plomb-dans-l-99154

Une réponse "

  1. LA il est bien dit QUE M. Calvi ne prend pas la parole des femmes pour intéressante. Et pourtant sur une chaine qui DEVRAIT etre de loin une chaine plus  » intélligente !!!

    J’aime

    Réponse
  2. Pingback: Le macho et sa collabo : Yves Calvi et Marcella Yacub « L'ESPACE LIBRE DE SAMI CHAIBAN…

  3. Je dois dire qu’il y a une partie de vrai dans ce que vous dites :
    – Calvi invite toujours les même personnes, avec aussi une prépondérance des hommes, assez à l’image de la représentation féminine dans les classes dirigeantes : minoritaire!
    – Caroline De Haas est une très bonne porte parole, loin des caricatures des feministes que l’on a trop souvent sur les plateaux.
    – Marcella Yacub est assez risible dans beaucoup de ses justifications.
    Mais alors, pourquoi noyer le propos avec autant d’agressivité sous-jacente ? C’est bien dommage car cela alimente les critiques de ceux qui trouvent les feministes hystériques par exemple.
    Et puis si Calvi invite les même personnes, il arrive à installer un regard « candide » et la polémique lorsqu’il voit que ses invités ronronnent ce qui en fait un des meilleurs animateurs de débat. Il faut en effet savoir manier intelligement la brosse à reluire et la naîveté face à d’habiles tribuns comme il y en a parfois.
    Pour ma part je me souviens d’une très mauvaise émission sur le végétalisme où son invité « pro végétalisme » était une caricature pure et simple.
    Je me pose souvent la question : qui choisit les invités? Il y a eu un article dans le monde je crois il y a quelques années sur ce microcosme du chroniqueur invité où tout le monde se connaît et vient des mêmes instituts….

    J’aime

    Réponse
    • laconnectrice

      Bonjour Iceman,
      En principe, c’est le rédacteur en chef qui choisit les invités parmi ses connaissances, les connaissances de ses connaissances et les leaders implicites ou ouvertement reconnus de la pensée politiquement correcte. Il y a beaucoup de copinage et d’auto censure dans ces choix dont le but n’est pas tant de débattre que de conforter le politiquement correct pour faire de l’audimat et garder sa place.
      Quant aux invités, selon leur statut, leur temps de parole sera équitable ou pas. Caroline de Haas a été d’autant plus admirable que, visiblement, Calvi n’avait pas envie de l’entendre.
      Je connais quelques personnalités féministes qui refusent de participer à ces non-débats car elles savent par expérience qu’elles seront bâillonnées en direct ou au montage.
      J’ai en la matière une petite expérience personnelle qui me permet de savoir ce qui se passe dans les cuisines des médias et aussi dans les non débats publics.

      J’aime

      Réponse
  4. laconnectrice

    Oui, Marc, j’ai une très mauvaise opinion du journalisme français, beaucoup trop lié aux pouvoirs, dépendant des modes et peu soucier de donner une information digne de ce nom.

    J’aime

    Réponse
  5. Calvi est donc représentatif du journalisme français, si je comprends bien.

    J’aime

    Réponse

Laisser un commentaire