- On a retrouvé l’identité de la scientifique inconnue photographiée lors d’une Conférence internationale sur la biologie des baleines en Virginie, en 1971, au milieu de 32 hommes qui eux avaient été parfaitement identifiés. Elle s’appelle Sheila Minor Huff et, après une brillante carrière, elle a pris sa retraite et s’occupe de ses petits-enfants. Elle a maintenant 71 ans. Sheila a été identifiée grâce à l’appel sur twitter de l’illustratrice américaine Candace Jean Andersen. Voilà une bonne idée d’investigation pour les féministes qui auraient envie de retrouver leurs glorieuses prédécesseuses.
- En Allemagne, le nombre de viols a quadruplé depuis 2014, date à partir de laquelle un million de migrants ont été autorisés. Le chef de l’association de la police criminelle affirme que 90% des viols n’apparaissent pas dans les statistiques officielles. Les autorités ont donné l’ordre aux policier de ne pas mentionner les crimes commis par les réfugiés. La Justice allemande est particulièrement indulgente avec les migrants coupables de crimes sexuels ce qui les autorise à récidiver.
L’article (en anglais) donne une liste impressionnante des cas de viols commis par des migrants de fin 2017 à fin février 2018. La plupart des femmes sont attaquées dans les transports en commun. La majorité des agresseurs sont musulmans.
https://www.gatestoneinstitute.org/12066/germany-rape-crisis
- L’association 30 millions d’amis édite le code juridique de l’animal pour mettre en pratique la loi de 2015 qui le reconnait comme « être sensible » https://www.20minutes.fr/justice/2241779-20180321-droit-premier-code-animal-edite-defendre-betes
Le caractère vivant et sensible des animaux reconnu depuis février 2015
« Le Code de l’animal découle directement du Code civil que nous avons réussi à changer et qui reconnaît le caractère vivant et sensible des animaux depuis février 2015 », a expliqué à l’AFP Reha Hutin, présidente de la Fondation 30 millions d’amis.
« Il fallait que l’on aille plus loin pour que les magistrats, les avocats, puissent avoir un véritable outil. Et c’est la première fois en Europe et même dans le monde que l’on a un recueil de tout ce qui concerne les animaux dans les différents Codes. On trouve tout en matière de directives européennes et de jurisprudence », a-t-elle ajouté.
Des milliers de dispositions françaises et européennes recensées
Selon elle, ce Code de l’animal « recense de nombreux textes, hier encore dispersés, qui régissent notre rapport aux animaux ». Il regroupe les milliers de dispositions françaises et européennes ainsi que les grandes décisions jurisprudentielles qui concernent les animaux de compagnie, de ferme, sauvages ou apprivoisés.
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Préfacé par la philosophe Florence Burgat, cet ouvrage de 1.058 pages, vendu au prix de 49 euros, a nécessité plus d’un an de travail. Avec le Code de l’animal, « il est plus facile et pertinent de préparer la prochaine étape : la reconnaissance de la personnalité juridique des animaux selon des modalités auxquelles la Fondation 30 millions d’amis et les auteurs travaillent déjà », a conclu Reha Hutin.
TRIBUNE EXCLUSIVE – Dans Le Figaro, ils dénoncent «un nouveau totalitarisme» qui «menace la liberté en général».
Nous sommes des citoyens d’opinions différentes et très souvent opposées qui se sont trouvés d’accord pour exprimer, en dehors de toute actualité, leur inquiétude face à la montée de l’islamisme. Ce ne sont pas nos affinités qui nous réunissent, mais le sentiment qu’un danger menace la liberté en général et pas seulement la liberté de penser. Ce qui nous réunit aujourd’hui est plus fondamental que ce qui ne manquera pas de nous séparer demain.
Le nouveau totalitarisme islamiste cherche à gagner du terrain par tous les moyens et à passer pour une victime de l’intolérance. On a pu observer cette stratégie lorsque le syndicat d’enseignants SUD Éducation 93 proposait il y a quelques semaines un stage de formation comportant des ateliers de réflexion sur le «racisme d’État» interdits aux «Blanc.he.s». Certains animateurs étaient membres ou sympathisants du Collectif contre l’islamophobie en France et du Parti des indigènes de la République. Les exemples de ce genre se sont multipliés dernièrement. Nous avons ainsi appris que la meilleure façon de combattre le racisme serait de séparer les «races». Si cette idée nous heurte, c’est que nous sommes républicains…
Les signataires
Waleed al-Husseini, écrivain
Arnaud d’Aunay, peintre
Pierre Avril, universitaire
Vida Azimi, juriste
Isabelle Barbéris, universitaire
Kenza Belliard, formatrice
Georges Bensoussan, historien
Corinne Berron, auteur
Alain Besançon, historien
Fatiha Boudjahlat, essayiste
Michel Bouleau, juriste
Rémi Brague, philosophe
Philippe Braunstein, historien
Stéphane Breton, cinéaste, ethnologue
Claire Brière-Blanchet, reporter, essayiste
Marie-Laure Brossier, élue municipale
Pascal Bruckner, écrivain
Eylem Can, scénariste
Sylvie Catellin, sémiologue
Gérard Chaliand, écrivain
Patrice Champion, ancien conseiller ministériel
Brice Couturier, journaliste
Éric Delbecque, essayiste
Chantal Delsol, philosophe
Vincent Descombes, philosophe
David Duquesne, infirmier libéral
Luc Ferry, philosophe, ancien ministre
Alain Finkielkraut, philosophe, écrivain
Patrice Franceschi, écrivain
Renée Fregosi, philosophe
Christian Frère, professeur
Claudine Gamba-Gontard, professeur
Jacques Gilbert, historien des idées
Gilles-William Goldnadel, avocat
Monique Gosselin-Noat, universitaire
Gabriel Gras, biologiste
Gaël Gratet, professeur
Patrice Gueniffey, historien
Alain Guéry, historien
Éric Guichard, philosophe
Claude Habib, écrivain, professeur
Nathalie Heinich, sociologue
Clarisse Herrenschmidt, linguiste
Philippe d’Iribarne, sociologue
Roland Jaccard, essayiste
Jacques Jedwab, psychanalyste
Catherine Kintzler, philosophe
Bernard Kouchner, médecin, humanitaire, ancien ministre
Bernard de La Villardière, journaliste
Françoise Laborde, journaliste
Alexandra Laignel-Lavastine, essayiste
Dominique Lanza, psychologue clinicienne
Philippe de Lara, philosophe
Josepha Laroche, universitaire
Alain Laurent, essayiste, éditeur
Michel Le Bris, écrivain
Jean-Pierre Le Goff, philosophe
Damien Le Guay, philosophe
Anne-Marie Le Pourhiet, juriste
Barbara Lefebvre, enseignante
Patrick Leroux-Hugon, physicien
Élisabeth Lévy, journaliste
Laurent Loty, historien des idées
Mohamed Louizi, ingénieur, essayiste
Jérôme Maucourant, économiste
Jean-Michel Meurice, peintre, réalisateur
Juliette Minces, sociologue
Marc Nacht, psychanalyste, écrivain
Morgan Navarro, dessinateur
Pierre Nora, historien, éditeur
Robert Pépin, traducteur
Céline Pina, essayiste
Yann Queffélec, écrivain
Jean Queyrat, réalisateur
Philippe Raynaud, professeur de sciences politiques
Robert Redeker, écrivain
Pierre Rigoulot, historien
Ivan Rioufol, journaliste
Philippe San Marco, auteur, essayiste
Boualem Sansal, écrivain
Jean-Marie Schaeffer, philosophe
Martine Segalen, ethnologue
André Senik, enseignant
Patrick Sommier, homme de théâtre
Antoine Spire, vice-président de la Licra
Wiktor Stoczkowski, anthropologue
Véronique Tacquin, professeure, écrivain
Pierre-André Taguieff, politologue
Maxime Tandonnet, auteur
Sylvain Tesson, écrivain
Paul Thibaud, essayiste
Bruno Tinel, économiste
Michèle Tribalat, démographe
Caroline Valentin, essayiste
David Vallat, auteur
Éric Vanzieleghem, documentaliste
Jeannine Verdès-Leroux, historienne
Emmanuel de Waresquiel, historien
Ibn Warraq, écrivain
Yves-Charles Zarka, philosophe
Fawzia Zouari, écrivaine
Et critique de cette tribune par Pierre Cassen de Riposte laïque