Archives de Tag: djihad civilisationnel

La question du voile est le leurre du djihad. Ne nous laissons pas décérébrer par le djihad.

Assez de se laisser mener par le coin du voile !

S’interroger sur le voile est un piège dans lequel toute la population est tombée. Depuis la provocation de la belphégor du Conseil général de Bourgogne, on ne parle plus que de cette paille dans la poudre de l’islamisation qui a déjà mis une bonne partie de la population musulmane en état d’insurrection.

 

La courbe de la croissance des voilées est proportionnelle à la croissance de la population musulmane en France. Dans mon quartier du 19ème arrondissement de Paris, une femme sur 5 est voilée : simple foulard sur tête maquillée avec jeans moulants, tissus enveloppant les épaules et tombant jusqu’aux genoux sur robe longue grise, noire, beige. Dans ce même quartier, il y a 20 ans, les femmes n’étaient pas déguisées comme aujourd’hui La population musulmane était moindre, les attentats, les agressions, les décapitations, les revendications et le nombre de mosquées étaient moins nombreuses. On ne remettait pas en question la laïcité ni les lois de la République. On n’entendait pas proclamer que les lois d’Allah étaient supérieures à celles de la République.

iran-women-white-hijab-reuters_650x400_41498628473

wnODm68-xqVK1lrcMF0s_mystealthyfreedom6

Alors qu’en France des musulmanes  sunnites imposent leur étendard islamique, en Iran des  musulmanes chiites sont séquestrées, battues, violées,  torturées , supprimées parce qu’elles refusent de vêtir le tchador. Des hommes de plus en plus nombreux sont solidaires de leur combat. Photo extraite de https://fr.wikipedia.org/wiki/My_Stealthy_Freedom

La population française n’était pas segmentée comme aujourd’hui en musulmans versus français sachant que de nos jours un français de religion musulmane dénomme ‘français » le non musulman, le kouffar, le colonisateur, le blanc, la pute blanche, l’Hitler.

Souvenez-vous de Mohamed Laidouni, ce jeune marocain battu à mort sur l’A13 en 2010 pour avoir voulu faire un constat d’accident « comme les français ».

Pour la plupart des femmes et hommes français, le voile est symbole de soumission, de discrimination sexiste et d’obsession sexuelle pathologique. Les femmes n’ont pas à cacher leur corps parce que des hommes sont incapables de maîtriser leur pulsion de domination et que leur éducation les encourage à s’approprier toutes les femmes.

Je ne ferai plus attention au voile lorsque j’aurais été égorgée dans un pays où femmes et hommes porteront voiles et autres accoutrements musulmans, le califat en France.

La Connectrice

 

Pour en savoir plus

https://laconnectrice.wordpress.com/2011/04/17/flora-tristan-na-jamais-prone-le-voile-integral/

En 2010, des dizaines d’articles ont fleuri sur le net, reprenant en général les mêmes sources et les mêmes arguments pour démontrer que, comme autrefois les « tapadas » à Lima (femmes cachées), le voile était un accessoire de la liberté des femmes. L’argument a notamment fait fureur sur les sites islamistes comme celui-ci :

http://muslimahmediawatch.org/2010/12/learning-from-las-tapadas-of-yesterday/

……..Quelles que soient les origines du voile et l’obligation pour les femmes de dissimuler leurs cheveux et leur visage, ces coutumes avaient été abandonnées dans certains pays musulmans et elles sont réapparues en France dans le contexte de l’impérialisme musulman, de l’intégrisme musulman et de l’importation du conflit isarélo-palestinien. Le port du voile est aujourd’hui une mode qui repose sur un substrat politique qui utilise les femmes pour mener le djihad. Le voile est avant tout l’étendard d’une armée de conquête…

En réalité, les partisans du voile musulman oublient que ce fut d’abord un accessoire juif, puis, dans l’ordre chronologique d’apparition des religions, un élément du vêtement chrétien, puis musulman. Il est possible d’ailleurs que le voile ait même été antérieur à la civilisation hébraïque, un tissu commun à tous les peuples de la région du Moyen-Orient quand, du fait des conditions climatiques, hommes et femmes se couvraient la tête, à l’image, par exemple, des touaregs qui s’enveloppent complètement pour se protéger du soleil, du froid la nuit, du vent, du sable et, éventuellement des mouches…

Dans toutes les civilisations à travers les âges, il était courant, parfois obligatoire de se couvrir la tête. Pour les hommes, la coiffe, le couvre-chef était le signe de son appartenance sociale et surtout de son rang. On se souvient de François 1er appelant ses troupes à se « rallier à son panache blanc ». Pour les femmes, la coiffe est, depuis des millénaires, une obligation :

La tradition a longtemps voulu que les femmes dissimulent leur chevelure. Déjà vers 1115 avant J.C., le roi d’Assyrie, Téglath-Phalasar Ier ordonne que  » les femmes mariées qui sortent dans la rue n’auront pas la tête découverte « . Par la suite les religions ont imposé aux femmes de couvrir leurs cheveux. Ainsi saint Paul, dans la 1ère Lettre aux Corinthiens au chapitre 11 affirme que  » la femme … doit avoir sur la tête une marque de l’autorité dont elle dépend « , la coiffure étant signe de soumission. Dans De virginibus velandis en 213, Tertullien, un des Pères de l’Eglise, va plus loin, puisqu’il impose une coiffure également aux jeunes filles :  » il faut voiler nos vierges dès qu’elles sortent de l’enfance « …

La voilette française a peu avoir avec la voilette algérienne qui a encore ses nostalgiques

http://www.dziriya.net/forums/sujet-culturdz.php?p=35734&l=1&topic=les-voilettes-algeriennes

Après la révolution algérienne, les femmes laissaient tomber le voile et la voilette en signe d’émancipation. Elles avaient été nombreuses à participer à la libération de l’Algérie et comptaient bien trouver leur place dans la nouvelle gouvernance. Malheureusement, il n’en faut rien et elles furent progressivement renvoyés à leurs fourneaux.

Femmes algériennes avant la révolution

La lutte contre le voile avait commencé sous l’administration coloniale française et pour comprendre l’épidémie de voiles comme réappropriation de son identité d’origine en sus de la pression religieuse intégriste, il est intéressant de relire Franz Fanon qui est toujours une référence pour les idéologues anti-capitaliste, anti occident.

Campagne de l’administration coloniale en Algérie contre le voile

Dans « L’An V de la révolution algérienne » de Franz Fanon ou sous un autre titre « Sociologie d’une révolution » l’auteur évoque l’enjeu du voile chez le colonisateur français dans « L’Algérie se dévoile ». Extrait :
« Avec le voile, les choses se précipitent et s’ordonnent. La femme algérienne est bien aux yeux de l’observateur : « Celle qui se dissimule derrière le voile ».
Nous allons voir que ce voile, élément parmi d’autres de l’ensemble vestimentaire traditionnel algérien, va devenir l’enjeu d’une bataille grandiose, à l’occasion de laquelle les forces d’occupation mobiliseront leurs ressources les plus puissantes et les plus diverses, et où le colonisé déploiera une force étonnante d’inertie. La société coloniale, prise dans son ensemble, avec ses valeurs, ses lignes de force et sa philosophie, réagit de façon assez homogène en face du voile. Avant 1954, plus précisément, depuis les années 1930-1935, le combat décisif est engagé. Les responsables de l’administration française en Algérie, préposés à la destruction de l’originalité d’un peuple, chargés par les pouvoirs de procéder coûte que coûte à la désagrégation des formes d’existence susceptibles d’évoquer de près ou de loin une réalité nationale, vont porter le maximum de leurs efforts sur le port du voile, conçu en l’occurrence, comme symbole du statut de la femme algérienne. Une telle position n’est pas la conséquence d’une intuition fortuite. C’est à partir des analyses des sociologues et ethnologues que les spécialistes des affaires dites indigènes et les responsables des Bureaux arabes coordonnent leur travail. A un premier niveau, il y a une reprise pure et simple de la fameuse formule : « Ayons les femmes, le reste suivra ». Cette explicitation se contente simplement de revêtir une allure scientifique avec les « découvertes » des sociologues ».

On comprend mieux alors comment la revendication du port du voile et tout ce qui la sous-tend peut inciter une manifestante à se voiler avec le drapeau français, étendard de la République laïque.

Message du voile musulman pour les Françaises

Pour les Françaises, depuis des siècles, le voile a été associé à la soumission des femmes, leur oppression, leur analphabétisme, un grand nombre d’enfants, leur exclusion de la politique et de l’économie noble, leur infériorisation, la polygamie, le harem, l’excision, la lapidation, l’absence de droits, leur minorisation, leur discrimination et les violences conjugales et crimes d’honneur.

Pour les féministes, le voile (quelle que soit sa longueur, sa forme, sa couleur-haïk, burqa, niqab, hidjab, tchador, etc.- a toujours été le symbole de l’oppression des femmes. Les féministes historiques se souviennent de la révolution algérienne quand, au début, la victoire des femmes s’est manifestée par l’abandon du voile. Elles éprouvaient de la sympathie pour Ataturk qui avait instauré la laïcité en Turquie et proscrit le voile.

Les Françaises se souviennent de l’époque, pas si lointaine, où les femmes devaient porter un chapeau, un foulard ou un fichu pour être respectées et l’obligation de se couvrir la tête d’une mantille pour entrer dans une église.

Les Françaises ont été consternées d’assister à une épidémie du voile depuis une quinzaine d’années car, auparavant, les musulmanes pratiquantes ne le portaient plus en France. Les seules femmes voilées étaient les vieilles algériennes qui venaient rendre visite à leur famille ou les riches femmes du Golfe qui venaient faire du shopping sur les champs Elysées.

Les Françaises, qu’elles soient féministes actives ou citoyennes ordinaires, ont bénéficié de la lutte pour l’émancipation et l’égalité des droits depuis la Révolution de 1789 qui a servi de modèle d’émancipation pour le monde entier, à l’exception des femmes. La plupart des pays qui se réfèrent à notre révolution et à la Déclaration des droits de l’homme en ont réservé les principes à la seule gens masculine. Seuls les pays occidentaux, chrétiens dans leur immense majorité, ont concédé des droits aux femmes. Même si la partie n’est pas gagnée, les femmes occidentales de culture judéo chrétiennes sont les plus émancipées du globe.

En portant le voile, les immigrées musulmanes ainsi que les françaises converties, envoient un message négatif aux Françaises, un message de déni de leur émancipation, de leur histoire, de leurs luttes et de leurs revendications pour parfaire l’égalité et la parité qui laissent encore à désirer. Elles tirent la condition des femmes par le bas. A Paris, les femmes voilées sont nombreuses dans les logements sociaux, les centres d’aide sociale de la Ville de Paris (CASVP), les salles d’attente des services d’urgence dans les hôpitaux, celles de la sécurité sociale, de la CAF, des mairies et de tous les lieux publics et associatifs qui distribuent de l’assistance. Elles sont nombreuses aussi dans les manifestations de mal logés et de sans papiers.

En se signalant par le voile, les femmes musulmanes renvoient aux Françaises une images de femmes soumises, pauvres, assistées, incapables de planifier les naissances, économiquement dépendantes, parasites, incultes et illettrées.

Contrairement aux discours dominants, les musulmanes ne sont pas stigmatisées, elles se stigmatisent elles-mêmes par leur code vestimentaire. Elles sont entièrement responsables de leur image et de l’hostilité qu’elles génèrent dans la population françaises. Et ce n’est pas la minorité éduquée qui revendique le port du voile et l’application de la charia en France qui les sortira du dégoût et de la pitié qu’elles inspirent aux Françaises qui, dans leur immense majorité sont éduquées et indépendantes économiquement.

Grand bazar de l’intox : voile, musulmans, islam, coran, charia, takkiya, halal, salafistes, radicalisés, attentats, terrorisme, islamophobie, laïcité, wahabbites, burqa, dette coloniale,koufars, lois d’Allah supérieures à la République, esclavage, crimes contre l’humanité, mahométans, djihad, Daech,colonialisme, crimes contre l’humanité, Hitler,…

Marre, marre, marre de ne pouvoir passer une journée sans être envahie par la plus grande intox de tous les temps en France : la France n’existe pas, les français sont des ordures colonialistes et racistes, la culture française n’existe pas, l’Histoire de France est hfalsifiée, Louis XIV et Jeanne d’Arc étaient musulmans, la France a été fondée par les musulmans et sans les travailleurs musulmans l’économie française serait proche de celle du Yemen, sans les mercenaires musulmans la France serait dominée par les nazis et seuls les musulmans respectent la femme en protégeant sa dignité par les voiles et la virilité de leur homme, mari, père, fils, frère, cousin ou voisin.

Marre de voir des femmes voilées promener un bébé avec une kalachnikov en plastique posée sur le berceau.

Marre de voir des voilées arabo musulmanes dont le tissu et la peau ne font qu’un interdisant de distinguer les traits du visage.

Marre de constater l’ignorance des usages de civilité qui permettent des déplacements libres et sereins

Peut-on aujourd’hui penser et parler d’autre chose que de l’islam et de ses déclinaisons ? Peut-on vivre en France sans rencontrer une voilée,un barbu, un arabe, une boutique halal, des vendeurs de drogue, des artistes insultant la salope blanche, le porc de flic ?

Puis-je sortir de chez moi sans être insultée en arabe, sans croiser des regards arabo musulmans ou afro musulmans hostiles, surtout quand je promène une chienne ? Ai-je le droit de demander poliment à un enfant musulman de faire silence dans un hôpital sans que la mère voilée ne m’agresse et alerte tout le personnel qui menace d’appeler la police  pour me faire taire ?

Mardi 22 octobre 2019

9 h ce matin, j’allume Sud radio et qu’entends-je ? débat sur les listes municipales électorales « communautaristes ». Et rebelote, les invités sont musulmans et défendent le droit à présenter des listes musulmanes. Et on reparle de la laïcité, bien entendu mal comprise par les français et parfaiement comprise par les musulmans comme tarik Ramadan qui nous en a fait des tonnes sur la démocratie et la laïcité, On reparle du « racisme » anti musulman, on reparle de ce qui arrange le communautarisme musulman à savoir l’existence d’une parti chrétien démocrate et ça repart islam, diversité, persécution des musulmans à devoir s’assimiler après s’être intégrés, intolérance des français et légitimité tout azimut de l’islam à s’installer en France au mépris de la culture française…Les mahométans nous envahissent physiquement, économiquement, culturellement, spatialement et occupent notre espace de cerveau disponible comme dirait Boris Le lay mais de sont les français (c’est comme ça qu’ils dénomment les non musulmans de France) les méchants, les bourreaux, les racistes et au réel les empêcheurs de djihader en rond, amusement qui trouve son apogée dans le taharruch

Quand cessera-t-on de se soumettre au harcèlement des mahométans ? Que le monde est stupide donc lâche !

Pour en savoir plus

N’oublions jamais que les femmes sont au djihad ce que le canari est à la mine.

Djihader en rond, le taharruch, les tournantes, les viols en réunion

Taharrush Gamea ou le paradis sur terre

S’ABONNER
islam-et-verite.com

Violences conjugales Maroc : « Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme. »

Résultat de recherche d'images pour "dessin violences conjugales islam"

https://desterel.wordpress.com/2009/11/27/journee-de-la-femme-battue/

A l’heure du « Grenelle des violences conjugales », Boulevard Voltaire publie  un article « féministe » pour la défense des femmes marocaines dans leur pays et dans les pays d’immigration dont la France. Il ne faut pas le dire mais les mâles des pays musulmans sont arrivés avec dans leur besace les traditions machistes de leur pays d’origine. Non seulement ils maltraitent leurs femmes quand elles sont venues avec eux (généralement ils les laissent au pays) mais ils maltraitent toutes les femmes et même parfois maman. Il y aurait une recrudescence des violences d’ados envers leur mère. Chut, faut pas le dire.

Bien sûr, des bons français de souche d’origine chrétienne maltraitent aussi leur compagne mais ils savent que c’est mal et que c’est un délit ou un crime sanctionné par la loi. Mais quand ces bons français voient et entendent que de nouveaux arrivants de culture musulmane maltraitent les femmes (coups, viols, harcèlements, insultes, discriminations et assassinats), qu’ils constatent que les sanctions sont faibles « par souci d’apaisement », ils se disent à raison qu’ils auraient tort de se gêner. Tout être humain déchaîne ses pulsions par effet d’entraînement lorsque ses semblables lèvent un tabou.

L’islamisation de la France comprend le djihad civilisationnel, la remise en question de nos usages et de nôtre culture le plus souvent avec la complicité des autochtones. On se souviendra de l‘affaire Yacine Chaouat, cet assistant parlementaire de la mairie du XIXème, un tunisien homosexuel dont le père avait décidé de lui donner une épouse. Chaouat la battait et l’attachait à un radiateur pour la contrôler. La justice passa et Yacine fut promu par le PS à l’intégration (!) jusqu’à ce que ses parrains maires d’arrondissement et de Paris soient contraints de le démissionner. Entre temps, le courageux élu qui avait dénoncé l’affaire fut renvoyé. Mais en 2017, Chaouat était soupçonné d’apologie du terrorisme https://www.lepoint.fr/justice/l-assistant-parlementaire-soupconne-d-apologie-du-terrorisme-repond-24-02-2017-2107135_2386.php  mais l’enquête a été classée sans suite http://www.leparisien.fr/politique/apologie-du-terrorisme-l-enquete-sur-un-assistant-parlementaire-ps-classee-sans-suite-11-04-2017-6845712.php

Quel rapport me direz-vous avec les violences conjugales ? Tout simplement parce que le cogneur Chaouat aux moeurs islamistes est protégé par le lobby gay, l’appareil PS et forcément par Macron Gay friendly. Il est bien de faire un Grenelle contre les violences conjugales mais sans l’adhésion totale des pouvoirs à ce combat, les femmes risquent d’être encore battues et torturées mentalement jusqu’à la fin de l’humanité.

Résultat de recherche d'images pour "dessin violences conjugales islam"

https://www.marianne.net/societe/islamisme-et-terrorisme-ceux-qui-ne-veulent-pas-voir

La Connectrice

 

Un chanteur marocain conseille aux hommes de tabasser leur femme !

Vous connaissez peut-être le proverbe arabe « Bats ta femme tous les matins ; si tu ne sais pas pourquoi, elle le sait ». S’il ne figure pas expressément dans le Coran, on ne peut nier que, dans beaucoup de pays où domine la religion musulmane, les femmes semblent être considérées comme des êtres inférieurs. Dernier exemple, les propos d’un chanteur marocain, lors d’une émission télévisée, le 29 juin 2019 : « Celui qui ne tabasse pas sa femme n’est pas un homme. » 

Ils ont provoqué une vague d’indignation dans les milieux éclairés. Mais, curieusement, en France, on n’en a guère parlé, jusqu’à ces derniers jours où les réseaux sociaux rappellent ces paroles, pour le moins machistes, de l’artiste. En relation avec l’ouverture du Grenelle des violences conjugales ?

Ce chanteur semble prendre plaisir à de telles « provocations », terme inapproprié, tant ces propos lui paraissent naturels. Non seulement il a ajouté qu’« au Maroc, cela est normal, chacun peut faire ce qu’il veut de sa femme, la frapper, la tuer », mais il s’est vanté d’avoir trompé la vigilance de la police espagnole qui l’avait placé en garde à vue pour avoir mis son précepte en application sur sa propre femme.

En 2018, le Maroc a bien adopté (au bout de cinq ans, ce qui prouve qu’il y avait des résistances) une loi pour lutter contre les violences faites aux femmes, avec, notamment, la création d’une infraction de harcèlement sexuel, mais la nouvelle loi ne prend pas en compte le viol conjugal.Selon une étude du journal La Croix du 19 mai 2019, au Maroc, la majorité des femmes sont victimes de violences. Une enquête du ministère de la Famille, publiée le mardi 14 mai, précise que 54,4 % des Marocaines ont « subi une violence (physique, sexuelle, psychologique, économique, électronique) » en 2018. La responsable d’une association féministe confiait alors : « Nous avions de grandes ambitions au moment de l’élaboration de cette loi. Elle a été une grande déception. »Apparemment, la condition des femmes au Maroc ne semble pas émouvoir les élites qui nous dirigent. Elles ne rechignent pas à faire preuve d’ingérence dans les pays qui ne respectent pas les droits de l’homme, souvent pour des raisons politiques, mais restent muettes sur ce point. Comme si elles partageaient la maxime de Pascal sur la relativité de la justice : « Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà » ! D’aucun diront que, tant que cela se passe dans d’autres pays, cela ne nous concerne pas.

Le problème, c’est que beaucoup de ressortissants de ces pays viennent en France, ou y sont déjà installés, et ne semblent pas toujours prêts à renoncer à certains usages inscrits dans leur culture. Du reste, nos gouvernants sont plus prompts à défendre des usages qui nous sont étrangers, pour ne pas être accusés de discrimination, qu’à défendre les valeurs de notre civilisation occidentale. Voyez comme ils sont indulgents avec des pratiques comme le port du voile ou les prières de rue ! Soit pour des raisons électorales, soit (ce qui est pire) qu’ils ne croient plus aux valeurs sur lesquelles la France s’est fondée, qui ont, jusqu’à ces dernières années, maintenu sa cohésion.

Il ne s’agit pas de mettre en cause les autorités marocaines, qui font ce qu’elles peuvent dans un pays marqué par des traditions ancestrales. Mais les pays occidentaux, à commencer par la France, ne devraient pas tomber dans le relativisme culturel qui les conduit inéluctablement au déclin.

Philippe Kerlouan

Écrivain

Lettre aux supporters algériens « mal élevés » et dégâts de la « fête »

A l’occasion (aubaine pour les racailles) de la qualification de l’Algérie pour la finale du CAN (Coupe d’Afrique des nations de football 2019) et de sa victoire sur le Sénégal le 20 juillet, des milliers d’Algériens vivant en France légalement ou illégalement ont mis à sac l’hexagone, notamment Paris, Lyon et Marseille. Les désordres avaient commencé à chaque qualification des Fennecs.

La liesse algérienne est très typée en ceci qu’elle consiste à brailler, youyouter, klaxonner toute la nuit, commettre des infractions routières, faire vrombir les moteurs de motos et grosses cylindrées, faire partir pétards et fumigènes, commettre des actes racistes, insulter les non algériens, casser et piller, faire flamber des voitures, insulter et agresser les femmes  non voilées tout ceci en invoquant Allah.

La nuit de la victoire de l’Algérie sur le Sénégal, Castaner, ministre de l’Intérieur, a renforcé la présence policière aux frais des contribuables français, pour limiter les dégâts prévisibles. Limiter les dégâts, mais pas les empêcher par « souci d’apaisement » car si on avait empêché ces Algériens de célébrer à  leur manière la victoire des Fennecs,  leur équipe de foot, ça aurait tellement chauffé qu’aucun responsable irresponsable n’a osé prendre ce risque. Bien qu’il y eut des saccages, du ramdam, de la pollution sonore et des voitures brûlées, les politiques et les médias se sont réjouis de « l’absence d’incidents majeurs ».

Quelques incidents graves, des morts, des blessés, des  nuisances sonores et des dégâts à chaque qualification des Fennecs

Bazar le 11 juillet pour la qualification en quart de finale de l’Algérie.

Paris

Dès la fin du match, la foule s’était retrouvée sur les Champs-Elysées dans un brouhaha de chants, de klaxons et aux cris de «One, two, three, viva l’Algérie». ..

Peu avant minuit, des groupes s’en sont pris à trois magasins de motos situés sur l’avenue de la Grande-Armée tandis qu’à quelques mètres d’autres continuaient à faire la fête. Une fois la vitrine cassée, plusieurs dizaines de personnes ont pillé deux magasins, dont une enseigne Ducati, s’emparant des accessoires – casques, gants… – mais aussi de motos avant que les forces de l’ordre n’interviennent…

Les supporter ont bloqué le périphérique parisien et envahi les Champs-Élysées une bonne partie de la nuit avant de saccager deux magasins.

Six motos flambant neuves ont été volées la veille vers 23 heures 15. À cette heure, les forces de l’ordre faisaient usage de gaz lacrymogène. Si les motos ont toutes été retrouvées en bon état, des gants, des casques à 800 euros l’unité ou encore des kits bluetooth ont été dérobés.

D’autres vitrines ont été brisées et, quelques temps plus tard, peu avant 1h00 des échauffourées ont éclaté et les forces de l’ordre ont fait usage de gaz lacrymogène notamment autour de la place de l’Etoile pour repousser des groupes qui leur lançaient des projectiles. La tension est finalement retombée autour de 01H30 même si le concert de klaxons se poursuivait. Selon Le Parisien, les forces de l’ordre ont procédé à une trentaine d’interpellations et une vingtaine de policier ont été blessés…

Montpellier

A Montpellier, la soirée festive s’est terminée en drame. Un supporter de l’Algérie qui a perdu le contrôle de son véhicule a fauché une famille, tuant la mère et blessant gravement sa fille et son bébé. Le supporter, qui roulait «à vive allure» selon la même source, a été placé en garde à vue. Le bébé, polytraumatisé, a été transporté en urgence absolue à l’hôpital. Une jeune fille de 17 ans a eu les membres inférieurs fracturés.

Incidents lors de la qualification pour la finale de l’Algérie, le 14 juillet

(informations recueillies sur Ouest France) 

282 interpellations en France et 249  gardes à vue

Marseille

Des motos font pétarader leurs moteurs, des jeunes escaladent les réverbères, drapeau algérien à la main. Plusieurs personnes sont interpellées après avoir allumé des feux et jeté des projectiles. Les échauffourées se sont poursuivies aux premières heures de la journée lundi. Des dizaines de jeunes à scooters ou à motos improvisaient encore des concours de « wheeling », des rodéos ou faisaient brûler la gomme de leurs pneus sur le haut de la Canebière. D’autres, vers la porte d’Aix, ont entrepris de démolir méthodiquement tous les abris de bus de la place.

Lyon et environs

lA Lyon, les scènes de joie des supporters de l’équipe d’Algérie ont fait place à des heurts entre jeunes et forces de l’ordre et de nombreux véhicules ont été incendiés, selon la préfecture et des pompiers…Les pompiers du Rhône avaient recensé peu avant 2 h des dizaines de véhicules brûlés à Lyon centre, ainsi que dans les villes voisines de Vaulx-en-Velin, Vénissieux, Bron ou Villeurbanne. Ont également été dénombrés plus de cent feux divers (poubelles, barricades) sur la voie publique. À 2 h, ils avaient relevé un total de 147 interventions sur le département

 Paris

Vers 1h du matin, sur les Champs Elysées, à plusieurs reprises, les forces de l’ordre, mobilisées en nombre pour parer d’éventuels incidents, font usage de gaz lacrymogènes pour disperser la foule. Les policiers sont la cible de quelques jets de pétards et de projectiles. Peu après 02 h, alors que les Champs-Élysées et la place de l’Étoile se vident peu à peu et sont réinvesties par les forces de l’ordre, l’avenue est tapissée de vélos et trottinettes cassés, quelques poubelles incendiées…Selon un bilan provisoire de la préfecture de police à 2 h, 25 personnes avaient été interpellées, notamment pour refus d’obtempérer, mise en danger de la vie d’autrui, jets de projectiles.

Jeudi, après la qualification de l’Algérie en demi-finale, des incidents avaient déjà éclaté dans le secteur des Champs-Élysées, avec notamment des commerces pillés ou dégradés.

Montpellier : une morte et un bébé gravement blessé

Les festivités avaient été endeuillées jeudi par la mort d’une mère de famille fauchée par un chauffard, l’avenue d’Heidelberg, lieu de l’accident, est animée par de nombreuses voitures circulant fenêtres ouvertes, drapeau algérien au vent.

Sur le trottoir, beaucoup de familles avec enfants profitent de la fraîcheur du soir et des jeux dans le parc adjacent. Les klaxons résonnent, les véhicules défilent. Une personne a été interpellée pour un rodéo dans le centre-ville.« Je rentre vite chez moi car je sais que ça va dégénérer », craint une maman accompagnée de ses deux enfants. « Regardez il n’y a pas de police pour nous sécuriser. Ils s’en fichent et les jeunes vont continuer ».

Victoire des Fennecs algériens sur les Lions sénégalais le  19 juillet

Lyon : un blessé à l’oeil

Une enquête a été ouverte samedi 20 juillet pour éclaircir les circonstances dans lesquelles un jeune homme a été blessé à l’œil à Lyon en marge des célébrations de la victoire de l’Algérie en finale de la Coupe d’Afrique des nations (CAN), a-t-on appris auprès du parquet. D’après les proches du jeune homme de 20 ans, il aurait été blessé par un tir de LBD par des forces de l’ordre alors encerclées par des dizaines de manifestants.

Des individus cagoulés ont frappé le véhicule de la famille, alors arrêté à un feu tricolore, et brisé une vitre, occasionnant de légères blessures au père. Les faits se sont produits en marge des célébrations de la victoire de l’Algérie en finale de la CAN. ..La famille a également déclaré que leurs agresseurs avaient proféré des menaces et des insultes à caractère raciste… »Des individus vêtus de noir, cagoulés, munis de battes, venant du vieux Lyon et criant ‘sales bougnoules’. Comment ne pas voir là la marque nauséabonde de l’ultra droite ? Il est temps que ces groupuscules violents soient mis hors d’état de nuire ! », a réagi sur Twitter le président de la métropole de Lyon, David Kimelfeld, après la révélation de cette agression.

Paris : église profanée

Ce matin [dimanche 21 juillet] à la fin de la messe de 11 h, à Saint-Jean-Baptiste-de-Belleville, dans le XIXe arrondissement de Paris situé (139 de la rue de Belleville), le curé de la paroisse, le Père Stéphane [Esclef], nous apprenait que diverses dégradations s’étaient produites le vendredi soir [19 juillet], et le samedi [20 juillet], dans la foulée de l’euphorie de la victoire sportive de l’Algérie, que des “jeunes” s’étaient introduits dans l’église le vendredi soir en brisant une lucarne et s’étaient livrés à des actes violents, en dispersant sur le sol des livrets de messe, ainsi que divers objets…

Rouen et environs: un mort

Mahmoud Barry était un enseignant-chercheur d’origine guinéenne, diplômé d’une licence en droit de l’université de Sonfonia, en 2010, il avait poursuivi ses études en France. Après avoir obtenu deux masters, à l’université de Rouen, il venait de soutenir une thèse en doctorat il y a moins d’un mois. Il aurait été insulté « sale noir fils de pute on va vous niquer » puis frappé par un turc « déséquilibré ». Sa nuque aurait percuté le trottoir et il en est mort.

Montceau-les-mines : un mort

C’est au pied de la ZUP du Plessis, à quelques centaines de mètres du centre-ville de Montceau-les-Mines, que le drame a eu lieu. Depuis 23 heures, la communauté algérienne avait investi le rond-point dit de la ZUP, en bordure d’un lac. La fête battait son plein, avec des scènes de joie, mais aussi des feux d’artifice, quand Giovani, un jeune qui vit dans le quartier depuis son enfance, a effectué un énième tour du rond-point, au guidon de sa moto, une moto de cross, et alors qu’il ne portait ni casque ni protections d’après des témoins.

Il est alors entré en collision avec une voiture qui venait de prendre le rond-point à contresens. Le choc a été très violent selon plusieurs témoins de la scène qui ont indiqué que la voiture ne circulait pas à grande vitesse. Alors que le jeune motard gisait au sol, le conducteur ne s’est pas arrêté et a pris la fuite.

Evreux : statue du général de Gaulle à terre

Après la victoire de l’Algérie en finale de la CAN, « certains jeunes sont descendus en ville et ont commencé à faire des rodéos puis à s’en prendre aux équipements publics, raconte l’élu. Ils ont fini par s’attaquer à la statue : elle a été cassée au dessus des pieds, au-dessus du scellement. »

La statue, de taille réelle, avait été inaugurée le 18 juin dernier, jour anniversaire de l’appel du général de Gaulle. « Ces voyous ne connaissent rien, ils ne connaissant pas le général de Gaulle, a-t-il regretté. Ils se revendiquent du drapeau algérien sans savoir que c’est le général qui a accordé l’indépendance à l’Algérie. »

La Connectrice

 ——————————————————————————————————-

Ecoute-moi bien, toi le « supporter » algérien…

Lettre à ces supporters « mal élevés »

Lettre d’un grand frère aux « hooligans » algériens.


Tu te dis amateur de foot, mais tu n’es rien d’autre qu’un mal-élevé. Tu te présentes comme supporter de l’équipe d’Algérie, mais tu n’es rien d’autre qu’un aigri qui passe ses nerfs sur le mobilier urbain. Un lâche qui a besoin de la foule pour passer à l’acte.

Le drapeau algérien est ton alibi, ce qu’il représente t’est indifférent. Les seules couleurs que tu défendes sont les tiennes et elles sont tristes et délavées comme ton maigre bilan dans la vie.

Tu es un embarras binational

Tu n’es pas Algérien. Tu es simplement le résultat d’erreurs commises par des Algériens (tes parents qui n’ont pas su t’élever). Ton impolitesse fait de toi une caricature. Une sorte de bête de foire qui fait peur en même temps qu’elle inspire la pitié. Un cliché ambulant qui coche toutes les cases du « détestable ».

Viva l’Algérie ! De quoi tu parles ?

En réalité, tu es un embarras binational. En France, tu causes la consternation. En Algérie, tu provoques la sidération à cause de ton manque total de savoir-vivre.

A lire aussi : ‘La société multiculturelle est de plus en plus synonyme de société multiconflictuelle »

« Viva l’Algérie ! » De quoi tu parles ? Est-ce qu’il t’arrive de t’entendre ?

Tu ne connais même pas l’histoire de l’Algérie, autrement tu n’attirerais par l’opprobre sur le peuple qui a engendré des grands seigneurs comme Abdelkader ou Mokrani, nobles guerriers craints et respectés par leurs ennemis.

Brûle ton passeport et casse-toi

Tant de gens sont morts pour l’Algérie, tant de braves ont connu la faim et le froid pour te donner un pays souverain, tant ont soutenu la cause algérienne, avec armes et munitions parfois. Et toi, tu ne trouves rien de mieux à faire que de poser tes fesses sur le capot d’une voiture en France et crier « Viva l’Algérie ! » Crois-tu honorer leurs sacrificies en te faisant passer pour un clown ?

Un homme, un vrai, vit en fonction de ses valeurs. Si tu détestes la France, alors brûle ton passeport et casse-toi. Si tu estimes que tu as des droits sur la France, engage-toi dans un parti politique quel qu’il soit et défends-y tes intérêts.

Ta maladie (car tu es vraiment malade) est une compulsion. À la moindre occasion, tu dois te remplir les poumons et la cervelle d’insultes et de bruits de sirène. On dirait que tu es vide de l’intérieur et que tout (et surtout n’importe quoi) peut combler ta vacuité.

L’intégration fonctionne pour les autres

Il t’a manqué une paire de baffes à un âge précoce. Tu avais besoin d’un cadre et l’on t’a donné des caresses. Tu languissais pour des règles et l’on t’a offert des excuses. Résultat : tu t’es perdu dans l’existence et tu as laissé passer ta chance de réussir.

Maintenant, tu imputes ton échec aux autres. Tu veux gâcher la victoire du football algérien, en faire un événement triste et déplorable, ruiner l’œuvre de ces joueurs talentueux qui eux ont trouvé un sens à leur vie. L’histoire du sport africain se souviendra d’eux ; de toi personne ne gardera la moindre trace.

A lire aussi : On n’a pas attendu les supporters algériens pour saloper le 14 juillet!

En vérité, tu n’es rien de plus qu’un aigri et un jaloux. En brûlant les voitures et en cassant les vitrines, tu veux faire croire au monde qu’il n’y a pas d’intégration possible, que les Arabes ne seront jamais des bons citoyens. Or, tu le sais bien au fond de toi : l’intégration fonctionne pour certains. Pas assez pour absorber les bouleversements démographiques mais suffisamment quand même pour que des Algériens dirigent des cliniques ou donnent des cours à l’université. Leur succès t’est insupportable. Alors, tu casses et tu craches pour éclabousser leur aura.

Le « traumatisme colonial », de quoi parles-tu?

Tu as la passion triste des peuples du sud qui aiment saboter les étoiles qui montent et cultiver les mauvaises herbes. Dès qu’une fille sort du lot, tu la traites de « pute », dès qu’un mec se distingue, tu le qualifies de « traitre ». Tu n’es qu’une pâle copie des millions d’aigris qui peuplent les cafés au sud de la Méditerranée, comme eux tu es le porteur passif d’un virus mental nommé défaitisme.

« Oui mais la France a colonisé l’Algérie pendant 130 ans ! » Ah le traumatisme colonial ! Pauvre garçon, tu as dû souffrir le martyre sous le joug des pieds noirs, toi qui es né après 1962 ! Tu n’as pas honte de t’approprier la souffrance de tes aïeux ?

Toi qui compatis tellement aux crimes du passé, tu devrais t’intéresser aux outrages faits au peuple algérien avant 1830. Renseigne-toi sur l’occupation ottomane qui a duré plus de trois siècles… Tente de localiser sur une carte les infrastructures et les hôpitaux légués par les Ottomans en Algérie… Tu n’en trouveras pas.

A lire aussi : Ces « petits riens » de l’islamisme « soft » qui s’infiltrent dans notre quotidien

Les Ottomans ont prélevé l’impôt en Algérie, pratiqué l’esclavage, discriminé les populations autochtones qu’ils ont maintenues dans l’analphabétisme et le dénuement… et toi tu fermes les yeux ! Pourquoi tu ne vas pas crier « Viva l’Algérie » à Istanbul ?

La France a tant fait pour l’Algérie

En 1962, la France a laissé un pays équipé. Des routes magnifiques, des barrages, des centres de recherche, une chaîne de télévision moderne. Les Français ont soigné le typhus, le paludisme et la variole. Ils ont dépensé des fortunes pour améliorer le sort des Algériens. Pourquoi crois-tu que De Gaulle a tout voulu remballer et partir illico presto ? C’est aussi parce que ça coûtait cher à la France de soigner la misère accumulée par des siècles de mauvaise gouvernance et de retard technologique.

Bien entendu, la France aurait dû faire plus, beaucoup plus. Elle a attendu 1954, c’est-à-dire le début des hostilités, pour se retrousser les manches sérieusement : campagnes de vaccination, dissémination des soins médicaux au djebel, développement de l’irrigation. Oui, la France a des choses à se reprocher mais tant de choses à mettre à son crédit. L’histoire est têtue mais elle est aussi faite de contrastes. Il n’y a que les enfants et les sots pour refuser la nuance.

A lire aussi : Les islamistes, passagers clandestins du progressisme

« L’Algérie est un pays riche et la France l’a pillé ! » Douce illusion. Il faut lire Jacques Marseille et Daniel Lefeuvre pour comprendre que la colonisation n’a pas été une bonne affaire pour les Français. Elle l’a été pour certains capitalistes, c’est indéniable, mais pas pour la République Française.

La valise ou le cercueil

La colonisation a été réellement utile pour la France pendant la Seconde Guerre Mondiale lorsque les musulmans d’Algérie, les pieds noirs et des dizaines de milliers d’indigènes (Maliens, Sénégalais, Marocains) ont combattu le nazisme. Là pour le coup, il y a de quoi être fier. Malheureusement, je ne t’ai jamais entendu réclamer la revalorisation des pensions versées aux anciens combattants et à leurs descendants.

L’Algérie aurait pu être un pays riche… si elle avait seulement gardé ses pieds noirs. Une population dynamique et parfaitement adaptée aux conditions locales. Parmi eux, il y avait des industriels, des médecins et des professeurs, des talents inestimables expulsés par le slogan : « la valise ou le cercueil ». L’Algérie ne cesse de payer le prix de cette erreur historique (ce n’est pas moi qui le dis, c’est Hocine Ait Ahmed).

A lire aussi : Farhat Mehenni: « 15 ans après, on ne dit toujours pas qui a assassiné mon fils »

« La France a torturé en Algérie ! » Il n’y a aucun doute que la présence française a été entachée d’immenses parts d’ombre. Tu connais un peuple de saints toi ? Un peuple immaculé, exempt de toute culpabilité ? Es-tu suffisamment naïf pour croire que les Arabes ont dominé les Berbères d’Algérie en distribuant des roses et du miel ?

Passer à autre chose

Passer les doigts en permanence sur les cicatrices réveille les vieux souvenirs, même les plus abjectes. Combien de tués au nom de la libération de l’Algérie ?

Apprends à tourner la page. Il n’y a que les enfants qui vivent dans la mémoire immédiate. Les adultes sont capables d’aller de l’avant.  Est-ce que les Chinois passent leur vie à cracher sur les Japonais pour le viol de Nankin ? Non, ils préfèrent travailler ! Est-ce que les Vietnamiens tiennent rigueur aux Français pour l’Indochine ? Non, ils n’ont pas le temps de se plaindre, ils bossent !

Chaque année, plus de 1,5 milliards d’euros sont transférés vers l’Algérie par la diaspora installée en France. Pas mal, tu ne trouves pas ? Je ne connais pas un programme d’aide au développement qui soit aussi généreux et durable ! Considère ça comme une sorte de réparation, un solde de tous comptes. Et passe à autre chose.

À ta décharge, ceux qui devraient t’ouvrir les yeux brillent par leur absence… Artistes, joueurs de football et autres stars issues de la diversité se taisent. Ils suivent le sens du vent dominant chargé de repentance.

La coupe est pleine

À ta décharge aussi, il est évident que tu souffres. Ton agressivité n’a d’égale que ton mal-être.

La France te considère comme un enfant turbulent qui pourrit la vie de parents fatigués.  Un enfant adopté que l’on regrette d’avoir amené à la maison. Ceux qui doivent t’orienter sont eux-mêmes en détresse : ils sont égarés par un malaise dans les valeurs qui remonte à 1968 et lessivés par tant de reproches et de récriminations. Avoir pitié de toi ne te rend pas service. La France ne va pas changer pour te faire une place, le monde non plus. Tu as raté la première mi-temps, ce n’est pas si grave que ça. La vie est un match de foot qui se gagne aux prolongations. Ressaisis-toi, arrête de chahuter et va t’entraîner, la deuxième mi-temps est pour tout de suite.

 

Humour et burqini

Publié le
Editoriaux – Immigration et diversité – Politique – 29 juin 2019

Burkini : Anne Hidalgo ne parvient pas à noyer le poisson par Jany Leroy

La gauche a résolu le problème du burkini dans les piscines : il y a plus important en France. Sujet suivant, s’il vous plaît. Le porc dans les cantines ? Il y a plus important. Et puis ? Les prières de rue ? Il y a plus grave. Et puis ? Je dois mettre une djellaba et voiler ma femme ? Mais bien entendu. Si je ne veux pas, vous me coupez la tête ? Mais je vous comprends. Puis-je vous offrir un sabre ?

Alors qu’elle recevait son ami Sadiq Khan, maire de Londres, sous la halle Freyssinet, rebaptisée « Station F, incubateur de start-up », Anne Hidalgo s’est livrée à un exercice de relativisation de toute beauté à propos du maillot de bain islamique intégral fermé à double tour devant huissier.

L’aspect dérisoire de l’affaire fut confirmé devant Sadiq en ces termes : « Il y a d’autres choses beaucoup plus importantes en France. » Alors que l’assistance l’attendait sur la canicule, le réchauffement des trottinettes et bien d’autres sujets brûlants, le maire de Paris s’en fut désigner les thèmes capitaux sur lesquels se concentrer énormément : « Je pense que notamment autour de l’éducation, autour de la cohésion sociale, autour du vivre ensemble… » Premier bug sous la halle dédiée aux start-up du numérique. Le disque dur d’Anne Hidalgo ne voit aucun rapport entre l’irruption d’islamistes dans une piscine et le « vivre ensemble ». Faute d’informaticien présent dans la salle pour rechercher l’origine de la panne, madame Bisounours continua à dérouler son argumentaire : « Autour du vivre ensemble, autour du droit des femmes, il y a encore beaucoup de choses à faire, avant de se jeter tête baissée dans un sujet qui ne laissera que des fractures. »

Sous le verbiage, la plage. Ses burkinis et ses absences de fractures pour les utilisatrices. Après tout, les autres ne sont-elles pas impudiques ? L’invocation du dérisoire est le prétexte pour ne pas prendre position. Mue, sans doute, par une volonté de rester sur le thème aquatique, Anne Hidalgo s’évertue à noyer le poisson. Mais entre deux plongées, l’animal confie ce que tout le monde avait déjà deviné. Madame le maire est pour l’autorisation du burkini dans les piscines. Sinon, fracture ! Crac ! Et qui c’est qui va plâtrer ? Eh ben, c’est la gauche. Toujours de permanence aux urgences du vivre ensemble. Alors, merci bien.

Aux piscines contraintes à des mesures d’hygiène, la gauche préfère la nage en eaux troubles. Bermuda interdit : pas fracture. Burkini : patatras ! Et bon courage au personnel pour justifier ce règlement ubuesque. L’utilisateur s’efforcera d’expliquer qu’il porte un bermuda islamique. Que son épouse ne tolère pas qu’il montre ses jambes au-dessus du genou.

Zineb El Rhazoui rappelle que « burqini » doit s’écrire avec un Q et non un K, car le mot vient de « burqa » et non de « bikini ». Il était impossible de trouver une lettre plus adaptée au niveau de la revendication.

Derrière le burkini, les Frères musulmans et Tariq Ramadan

Publié le

Rosa Parks en burkini à Grenoble !

Avec l’été, les offensives pro-burkini reprennent.

Cette année, l’Alliance citoyenne soutenue par des associations pseudo-féministes et une partie de la gauche, celle qui a égaré sa boussole, a choisi de cibler Grenoble et son maire EELV Eric Piolle. Les élections municipales approchent, les Maires vont devoir faire preuve de courage politique, rappeler que la République française est laïque, une et indivisible,  résister aux intégrismes, à l’islam politique, et renoncer à leur fâcheuse tendance à draguer un électorat sensible aux sirènes communautaires.

Pendant ce temps, c’est au nom de la liberté des femmes qu’est revendiqué le droit de porter le burkini dans les piscines. Mieux encore, une revendication au nom de Rosa Parks ! Cela mérite une mise au point :

1. Ni le  burkini, ni le voile, ni aucun vêtement islamique ne seront jamais une liberté : ils sont des instruments de l’asservissement des femmes, partout dans le monde. Elles doivent se montrer pudiques afin de repousser les ardeurs masculines, comme si ce n’était pas aux hommes de se contrôler et de respecter les femmes libres ! Par définition, cette vision du genre humain, décrète impures les femmes qui ne se couvrent pas. L’égalité femmes-hommes peut bien aller se rhabiller !

2. Rosa Parks, a toujours combattu le système ségrégationniste. Or, le burkini est un instrument ségrégationniste, un marqueur genré du corps des femmes. En appeler à Rosa Parks, est ni plus ni moins qu’une imposture !

3. Les règles d’hygiène dans les piscines pour s’adapter aux exigences islamiques deviennent illisibles, comme à Rennes que l’on ne remerciera jamais pour avoir ouvert la brèche. Voir photo n° 1.image 1. Rennes

Les femmes de l’Alliance Citoyenne avaient revêtu leur burkini chez elles, ont brandi dans l’eau un drapeau qui n’était pas passé sous la douche. Voir photo n°2.image 2 - Drapeau dans l'eau

L’Alliance Citoyenne lance une campagne Facebook pour revendiquer des droits civiques pour les femmes musulmanes, comme si ces dernières n’avaient pas les mêmes droits civiques que tous les citoyens français. Une fois de plus, la minorité intégriste tente de s’imposer avec une rhétorique victimaire qui consiste à inverser les valeurs. Elles ne sont en rien discriminées par des règles collectives, elles veulent seulement imposer à toutes des contraintes sexistes exigées d’un islam rigoriste envers les femmes. (*1)

A chaque avancée des islamistes et de leurs allié.es, les droits des femmes reculent, et particulièrement ceux des femmes issues de culture musulmane. Notre solidarité va vers elles, vers celles qui résistent aux assignations sexistes des islamistes, ici et partout dans le monde.

En 2015 déjà  nous avions édité une revue de presse sur le burkini qui avait défrayé la chronique, elle est toujours d’actualité : https://vigilantes2015.wordpress.com/2016/09/03/en-burkini-messieurs-revue-de-presse-feministe/

Nous avions également commenté la démission de la municipalité à Rennes :  https://vigilantes2015.wordpress.com/2018/10/11/burkini-a-rennes-on-nage-en-eaux-troubles/

Les VigilantEs

*1 Sur Facebook, l’une des meneuses d’Alliance Citoyenne, Taous Hammouti, sous le pseudonyme de Koulouce Paon, revendique fièrement « Je suis Tariq Ramadan «,  cautionne l’attentat de Charlie Hebdo, et affiche en photo de profil le leader des Frères musulmans décédé, Mohamed Morsi. Nous savons donc à qui nous avons à faire et pourquoi. Voir photos 3 et 4

Feuille de route du djihad en France

Publié le

 

https://ripostelaique.com/feuille-de-route-de-lislamisation.html

Résultat dans dix ans

Soumission à l’Islam. La dhimmitude dans l’Histoire

coran continu ou alternatif

https://ripostelaique.com/la-haine-des-chretiens-et-des-juifs-est-inscrite-dans-le-coran.html

Sous régime islamique, seule la religion Islam doit régner, réglementer les moindres actions humaines, surveiller et punir. Catholiques, protestants, juifs, bouddhistes, athées et agnostiques, orthodoxes et toute obédience chrétienne doivent se soumettre ou périr. Se soumettre en se convertissant (le cas des Berbères) ou en devenant dhimmi, c’est à dire sujet de classe inférieure privé de droits. C’est entre autres le cas des Coptes (égyptiens en grec) chrétiens de la première heure et premiers habitants d’Egypte qui sont persécutés et discriminés encore aujourd’hui dans leur propre pays.

http://www.piedsnoirs-aujourdhui.com/dhimmitude01.html

Avec l’islamisation croissante de l’Europe, la multiplication des « accommodements raisonnables », la terreur, la corruption, la collaboration des élites et le djihad civilisationnel qui a déjà gagné les mentalités au détriment des valeurs européennes et de notre culture, le Califat est en bonne voie de s’étendre au delà de nos frontières. Une fois qu’il sera instauré par le glaive et l’esprit, nous devrons choisir entre la mort, la conversion ou la dhimmitude. Ce n’est pas une fiction et chaque jour nous en donne des preuves : violences sur les femmes, application de la charia, attentats, projets d’attentats, construction pléthorique de mosquées et lieux de prière (+3000, utilisation de lieux publics pour les prières (ex. le gymnase Japy dans le Paris 19 vendredi dernier, appels à la haine et l’intolérance dans les mosquées (mosquée Omar rue JP Thimbaud toujours ouverte), djihadistes (radicalisés) de plus en plus nombreux , halal généralisé, laïcité remise en cause, multiplication des foulards islamiques dans l’espace public, etc.

Dans l’article ci-dessous, l’historienne Anne Merlin -Chazelas rappelle les réalités du statut de dhimmi à travers l’Histoire. Est-ce ce que nous voulons ?

La Connectrice

REPENTANCE EN FRANCE : DE LA DHIMMITUDE VOLONTAIRE

 AUJOURD’HUI

Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.

Historienne
 
 
 

En France même, Louis XIV, Saint Louis, Napoléon 1, Jules Ferry, etc., sont menacés de voir disparaître leur nom et leur image pour ne pas risquer de choquer les anciens colonisés, victimes (selon l’actuel président de la République) de « crimes contre l’humanité » commis par la France 2. Quant à Colbert, auteur du Code noir, son nom ne devrait plus figurer dans les livres d’histoire. Pour dire le vrai, ces manuels ont déjà assimilé les règles auxquelles il faut se soumettre pour être acceptés et ce n’est pas le seul Colbert, mais la France (prétendument coupable, rappelons-le, de « crimes contre l’humanité ») et l’Europe (« la chrétienté ») qui ne doivent plus être présentés que comme d’abominables coupables à rejeter définitivement.

Or, les représentants de ces différentes communautés qui ont l’épiderme si sensible ne sont que quelques dizaines de milliers. Les Européens blancs qui ne doivent pas avoir le droit d’offenser, même en pensée (car on recherche, dans ce qu’ils n’ont PAS dit, la pensée « nauséabonde » qui s’y cache certainement), les minorités qu’ils représentent sont infiniment plus nombreux, plus puissants. Mais non seulement ils ne défendent pas leur communauté, ils se précipitent pour s’agenouiller devant le plus léger souhait que pourrait, éventuellement, émettre un membre des « minorités exploitées ».

C’est une attitude que connaissent bien les chrétiens et les juifs des pays musulmans. Les musulmans, en effet, après avoir massacré – souvent avec un raffinement de cruauté – les mécréants (juifs et chrétiens) vaincus, peuvent offrir aux survivants le choix entre la mort, l’exil ou la possibilité de continuer à vivre dans leur pays et d’y pratiquer leur religion, avec le statut de « dhimmi ». Le dhimmi est, dans le pays, un sujet inférieur obligé de payer tribut au cours d’une humiliante cérémonie (ce tribut constituant l’essentiel du budget du pays), il lui est interdit de posséder la terre – qu’il peut seulement cultiver – ou de monter à cheval, il doit porter en public un vêtement ou une marque spéciale. Devant tout musulman, il doit céder le pas et s’humilier, en reconnaissant humblement son infériorité. Son témoignage en justice ne vaut rien contre celui d’un musulman. Il ne doit jamais contester qu’il n’y a qu’un seul Dieu qui est Allah (ce qui fait de l’acceptation de l’état de dhimmi une quasi-apostasie). L’acceptation de l’état de dhimmi n’est d’ailleurs pas une protection absolue : nombreux sont les émirs musulmans qui ont exigé de leurs sujets dhimmis une conversion à l’islam, sous peine de mort (un long martyrologe l’atteste, notamment dans la si « tolérante » Al-Andalus).

 

Subir l’état de dhimmi est un grand malheur. S’y précipiter volontairement d’avance (attitude appelée « dhimmitude ») est un crime contre les siens.

 

Notes:

  1. Le gouvernement a même refusé de fêter le bicentenaire de la victoire d’Austerlitz… 
  2. Mais aussi les femmes, à qui ils n’avaient pas donné le droit de vote, les juifs et protestants qui n’ont obtenu la pleine citoyenneté qu’à la fin du XVIIIe siècle, et les homosexuels, transsexuels, bisexuels de tout poil, que ces hommes politiques ont permis de traiter en délinquants dans le Code pénal au lieu de modifier celui-ci. 

Pour en savoir plus

Définition du Dhimmi

Statut des juifs en terre d’Islam : Un contrat sous domination
• Le concept de dhimma qui s’applique aux juifs et aux chrétiens stipule un comportement de soumission envers les musulmans. Les dhimmi doivent respecter toute une série d’interdictions :
ne pas porter d’arme, ne pas chevaucher un cheval, ne pas construire de nouveaux lieux de culte, ne pas élever la voix lors de cérémonies ou ne pas ressembler aux musulmans dans leur habillement. Toutefois, les dhimmi conservent leurs droits internes et peuvent toujours avoir recours à leurs tribunaux. Le droit de résidence des juifs n’était pas limité en principe mais il reste que le séjour dans les villes saintes leur étaient interdit. Certains juifs finissent donc par disparaître de la péninsule arabe à l’exception du Yémen.
• Une étape supplémentaire est franchie lorsque les conquérants arabes s’enracinent dans leurs conquêtes et que le contact avec les dhimmi devient permanent. Il leur est alors interdit de construire des maisons plus hautes que celles des musulmans, de prendre des noms et des titres arabes, d’étudier le Coran et de vendre du vin aux vrais croyants. Ils ne peuvent pas non plus faire partie de la fonction publique, ce qui ne les empêche pas de conserver ou de conquérir, notamment en Egypte et en Espagne, une place importante dans la haute administration et plus particulièrement dans les finances.
L’aggravation des restrictions
• Le morcellement de l’Empire musulman et l’apparition de nouvelles élites ont des répercussions au sein des communautés juives. Dans l’Egypte des Mamelouks du XIIIe et XIVe siècles, de nouvelles règles aggravent le statut de dhimmi : les juifs doivent désormais porter comme les chrétiens une coiffe particulière, en l’occurrence jaune pour être plus aisément reconnus. En 1354, les juifs doivent également porter un anneau métallique distinctif dans les bains publics et les femmes s’envelopper d’un tissu de couleur pour sortir de leurs maisons.
• Le principal tribut que doivent verser tous les dhimmi, en contrepartie de la protection et de l’hostilité est la djizia. Il est sans doute payé en nature à l’origine mais est rapidement transformé en capitation, ce qui suffit à démontrer l’état de subjugation auquel était soumis celui qui était assujetti. Les persécutions des dhimmis sont rares au cours des premiers siècles de l’islam et ce n’est qu’à partir des derniers siècles du Moyen-Age qu’un raidissement est noté. La dhimmitude fait partie de la vie quotidienne des pays arabes jusqu’à l’époque moderne. Les juifs semblent s’en être mieux accommodés que les chrétiens : ces derniers ont disparu de plus d’un pays où les juifs réussissent à se maintenir comme en Afrique du Nord.
Source : Le monde sépharade, Civilisation (volume II), sous la direction de Shmuel Trigano, Le statut des juifs en terre d’Islam, essor et disparition de la dhimmitude par Simon Schwarzfuchs, pp 25-37 (Seuil, 20

  • Être non musulman en terre d’islam. Dhimmi d’hier, citoyen d’ aujourd’hui ?
par J. Chapuis et S. Boussois (dir.)Éditions du Cygne (90 pages, 12 euros)
L’impôt musulman la djizia
Cet article de wikipedia, politiquement correct, s’empresse de préciser que la djizia n’est plus exigée par les gouvernances musulmanes. Ce n’est peut-^tre plus institutionnalisé (je n’en sais rien) mais c’est inscrit dans les mentalités : le dhimmi doit payer au titre de la colonisation, au titre des morts musulmans pendant les guerres mondiales, au titre du racisme, au titre du capitalisme, au titre de l’occupation des terres musulmanes est musulmane toute terre qui a été occupée par des musulmans au cours des âges : la France est terre musulmane), au titre de notre corruption, au titre de notre domination économique et de notre richesse, etc.
Le musulman ne vole pas le kouffar, il récupère ce qui lui est du et nous donne un avant goût de la djizia lorsque nous serons définitivement soumis au Califat …si nous sommes encore en vie. LC

Belgique. Radicalisation dès la maternelle

Publié le

Les musulmans d’Europe, qu’ils soient de nationalité d’un pays européen, réfugiés, demandeurs d’asile, en attente de papiers ou clandestins ont déjà gagné le djihad, la guerre sainte. Ils ont remporté le djihad militaire en semant la terreur, le djihad civilisationnel en imposant leurs coutumes (notamment en ce qui concerne la discrimination des femmes) et en construisant des milliers de mosquées. Ils ont gagné le djihad économique en imposant aux banques la finance islamique et en rachetant le maximum de domaines fonciers, clubs de sport, palaces, casino, haras, usines et médias.

Les musulmans sont très bien installés en Europe grâce à la collaboration des institutions et gouvernements européens et peuvent en toute quiétude laver le cerveau des petits enfants dès la maternelle.

Les musulmans sont des coucous qui ont fait leur lit dans celui d’autrui, le notre en l’occurence, et je crains fort que le mal soit irréversible.

LC

 

Lire aussi

http://ripostelaique.com/belgique-des-enfants-radicalises-des-la-maternelle.html

…Et les parents ? Selon ce rapport ils soutiennent leurs enfants et escamotent le problème en riant…

Ben quoi ? Si c’est eux-mêmes qui endoctrinent leurs gosses dès leur naissance…

D’ailleurs les mamans éplorées des terroristes, à Bruxelles, Paris ou Barcelone, vous le diront toutes «je n’y comprends rien ! un si gentil garçon qui avait si bien appris l’islam que je lui avais enseigné»…

Il faut les comprendre: ça fait partie de leur culture et cela enrichit la nôtre en passant. A la maternelle les gosses ont entre 3 et 5 ans… voilà une pépinière qui nous promet bien du plaisir…

Le bikini est une permission alors que le burkini est une prescription

Le combat pour le port du burkini fait partie intégrante du jihad civilisationnel qui envahit la France déjà fortement islamisée démographiquement, politiquement, financièrement, culturellement et terrorisée par les attentats islamiques.

LC

https://www.causeur.fr/burkini-meddeb-islam-femmes-pudeur-145203

Le burkini n’est pas une mode, c’est une bataille culturelle

L’essentiel a déjà été écrit au sujet du burkini, notamment dans Causeur. « Le bikini est une permission alors que le burkini est une prescription » en constitue d’ailleurs une fort élégante synthèse.

Un défi civilisationnel

Plus que les corps, ce vêtement masque une volonté de banalisation de l’islam radical et de ses codes dans l’espace public. « Notre défi est aussi civilisationnel » a dit à juste titre notre nouveau président. Nous verrons cet été si son gouvernement et lui choisissent de clarifier les choses au sujet de ces étranges tenues de plage, ce qui au fond n’a rien de compliqué et se résume à une exigence de cohérence.

Hypothèse 1  : Le burkini n’est qu’un vêtement, et chacun a le droit de s’habiller comme il le veut. Que les adeptes du burkini militent donc en parallèle pour le droit des femmes à porter le bikini en Arabie Saoudite, et ils mériteront d’être pris au sérieux. En l’absence de cette cohérence, qu’ils ne s’étonnent pas d’être vus comme des provocateurs hypocrites et traités comme tels.

Hypothèse 2 : Le burkini est un signe d’appartenance à des courants de l’islam prônant des valeurs fondamentalement opposées à celles de la République. Il est alors légitime que les pouvoirs publics en interdisent le port, comme est interdit le port d’uniformes rappelant les « heures les plus sombres de notre histoire ». Mais il faudrait alors que l’État repense ses relations avec des groupes ou des pays qui se réclament ouvertement de ces mêmes courants religieux, faute de quoi il sera à juste titre accusé d’hypocrisie.

A lire aussiBurkini: le Sud de la France entre en résistance

Quoi qu’il en soit, le burkini participe aussi à une entreprise de tromperie, par l’emploi d’une novlangue insidieuse, dans le cadre de la mode dite « modeste ». Traduction maladroite du terme anglais « modest fashion », qui signifie « mode pudique », ce terme désigne toutes sortes de vêtements compatibles avec les exigences que de très nombreux prédicateurs attribuent à l’islam (savoir si les textes sacrés de l’islam imposent réellement ces contraintes est un autre débat).

Où est l’impudeur?

Or, permettre que se banalise l’appellation de « mode modeste » ou « mode pudique » pour parler de ce qui se veut, la « mode islamique » ou la « mode halal », laisse sous-entendre que les autres types de vêtements féminins, du bikini au kimono en passant par la robe de bal, seraient « immodestes » ou « impudiques » !

Je préfère d’ailleurs l’emploi de « mode hallal », qui insiste sur la volonté de se conformer à des règles strictes se disant d’origine religieuse, plutôt que « mode islamique » ou, pire, « mode musulmane », tant il y a de musulmanes à la foi sincère qui ne voient aucun problème à s’habiller avec une certaine légèreté.

Certes, certains promoteurs de la « modest fashion » mettent en avant quelques modèles non voilées, et affirment que les critères de cette mode (bras et jambes couverts, absence de décolleté) seraient universels et communs à de nombreuses religions. Reste que le marketing de la « modest fashion » est presque exclusivement tourné vers les populations musulmanes, et qu’une vahiné aux seins nus ou une musulmane dévoilée peuvent être à la fois plus authentiquement pudiques et plus profondément religieuses que bien des matrones victoriennes boutonnées jusqu’au cou, ou les militantes en burkini qui s’exhibent ostensiblement sur les plages en prétendant se cacher.

Respectons le libre-arbitre

« Couvrez ce sein, que je ne saurais voir. Par de pareils objets les âmes sont blessées. Et cela fait venir de coupables pensées. » faisait dire Molière à Tartuffe, l’hypocrite, le faux dévot. Déjà ! Et déjà on rendait les femmes responsables des « coupables pensées » des hommes, comme si c’était à elles d’assumer le manque de maîtrise de soi supposée de la gent masculine, et comme si par nature le mâle ne pouvait être qu’un vulgaire obsédé.

A lire aussi: Quand Facebook interdit Marianne

Au demeurant, on peut se demander si ces pensées sont vraiment si coupables, ou uniquement condamnées par un homme à ce point dépourvu de séduction, à ce point incapable de relations saines avec les femmes, qu’il feint de mépriser ce que sa médiocrité lui rend inaccessible. Tel « certain renard Gascon, d’autres disent Normand » qui ne pouvait atteindre les raisins vermeils en haut d’une treille…. Mais c’est un autre débat.

Pour ma part, je considère que femmes et hommes sont des sujets, non des objets, et qu’ils sont dotés de libre-arbitre. Je n’ai pas besoin d’enfermer ni de cacher une femme pour lui faire confiance, et je ne crois pas que les hommes soient par nature des obsédés irresponsables incapables de canaliser les pulsions qui jailliraient à la vue d’une parcelle de peau nue.

En 2009, Abdelwahab Meddeb déclarait à Elisabeth Lévy : « la face, surtout celle de la femme, est une épiphanie divine destinée à être contemplée. » J’y ajouterai les reflets changeants du soleil dans une chevelure, la forme désirable d’un corps, les nuances des couleurs de la peau. Pour quelqu’un qui se dit croyant, quel manque de gratitude envers le divin que de préférer dissimuler la beauté plutôt que la contempler !

Mythologie de la beauté féminine

Dans les mythes du Japon, le dieu Izanagi était si émerveillé par sa fille Amaterasu, déesse du Soleil, qu’il la prit dans ses bras et l’éleva haut dans le ciel pour que tout ce qui vit puisse l’admirer et être embelli par sa lumière. Et il lui confia le gouvernement des cieux. Lorsque les ténèbres menacèrent de recouvrir le monde, c’est en se dénudant pendant qu’elle dansait que l’Aurore rendit aux divinités rassemblées l’espoir et la pure jubilation d’exister, et fit revenir le jour.

Louées soient celles qui se dévoilent ! Celles qui savent qu’un regard peut être un hommage, qu’une pointe de désir peut rester empreinte de respect, et qui offrent ainsi une preuve de la beauté du monde, du simple plaisir de vivre et de la possibilité de la joie.

Ceci étant, je comprends qu’une femme puisse chercher à associer sa vision de la mode avec d’autres normes culturelles que les miennes. Mais j’attends alors que ces normes soient de sa part un choix conscient et libre, et qu’elle défende ce même droit pour celles qui s’appuient sur des normes différentes, ou sur la volonté de s’affranchir des normes. Et j’attends de tous, y compris des journalistes et des marques de vêtements, que les mots soient employés dans leur vrai sens, et que l’on cesse d’accuser implicitement la majorité des femmes d’impudicité sous prétexte d’éviter les appellations à connotation religieuse par…. fausse pudeur.